INV 28527, recto
Homme nu, les bras et les jambes en mouvement
né en 1619 ; mort en 1690
France
1672 vers
H. en m 0,435 ; L. en m 0,288
Sanguine, avec rehauts de craie blanche, sur papier beige. Bords irréguliers
ange, Père Eternel, Dieu le Père, Dieu, Louis XIV roi de France, Diable, Verdier François oeuvre en rapport, Loir Alexis gravure en rapport; Versailles; Versailles, oeuvre en rapport; Versailles, château; Versailles, château, oeuvre en rapport; Versailles, château, chapelle; Versailles, château, chapelle, oeuvre en rapport; Versailles, musée, oeuvre en rapport; Versailles, Musée national du château, oeuvre en rapport; oeuvre en rapport; Enfers, les; iconographie religieuse; ange; Chute des anges rebelles; Le Brun, Charles, Décoration du château de Versailles; Le Brun, Charles, La Chute des anges rebelles; Le Brun, Charles, Dieu dans sa gloire; Verdier, François, La Chute des anges rebelles
oeuvre en rapport
propriété de l'Etat, saisie, musée du Louvre département des Arts graphiques
1690
Cabinet du Roi dernière provenance : Cabinet du Roi
Etude pour La Chute des anges rebelles pour décor de la troisième chapelle du château de Versailles, commencé en 1672, aujourd'hui détruit. Le décor était composé de deux parties : Dieu dans sa gloire et La Chute des anges rebelles. De nombreux dessins sont conservés au Louvre. Une esquisse peinte de la première composition est conservée au musée national du château de Versailles (MV 8391). La Chute des anges rebelles fut copiée par Verdier (musée national du château de Versailles) et gravée par Alexis Loir. Etude pour un ange révolté, tombant dans l'ombre, à droite du Monde. Dans la peinture, il est complètement renversé, la tête dirigée vers le bas. (L. Beauvais, Musée du Louvre, Département des Arts graphiques, Inventaire général des dessins, Ecole française, Charles Le Brun, 1619-1690, tome I, Paris, RMN, 2000, n° 235, p. 94, 96) Etude portant au verso le dessin d'un homme de profil, marchant avec une canne Atelier de Le Brun. Entré dans les collections royales en 1690 ; paraphe de Jean Prioult (L. 2953) au verso ; marque du musée (L. 1886).