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Plateforme ouverte du patrimoine

Fonderies de cuivre de Romilly

Désignation

Dénomination de l'édifice

Fonderie ; laminoir ; martinet ; tréfilerie

Précision sur la dénomination de l'édifice - hors lexique

Fonderie de cuivre ; fonderie de laiton

Appellation d'usage

Fonderies de Romilly

Titre courant

Fonderies de cuivre de Romilly

Localisation

Localisation

Normandie ; Eure (27) ; Romilly-sur-Andelle

Aire d'étude pour le domaine Inventaire

Bassin hydrographique de l'Andelle

Canton

Romilly-sur-Andelle

Références cadastrales

1834 B 595, 647, 648, 651, 684, 692, 712, 744, 756, 761,

Milieu d'implantation pour le domaine Inventaire

En village

Nom du cours d'eau traversant ou bordant l'édifice

L'Andelle (bief de dérivation)

Partie constituante non étudiée

Bief de dérivation ; vanne ; bureau ; logement patronal ; logement d'ouvriers ; avenue

Historique

Siècle de la campagne principale de construction

4e quart 18e siècle ; 1er quart 19e siècle

Année(s) de(s) campagne(s) de construction

1782 ; 1788 ; 1816 ; 1823 ; 1825 ; 1834 ; 1837 ; 1839 ; 1849 ; 1851

Commentaires concernant la datation

Daté par source ; daté par source ; daté par source ; daté par source ; daté par source ; daté par source ; daté par source ; daté par source ; daté par source ; daté par source ; daté par source ; daté par source

Commentaires concernant l'attribution de l'édifice

Attribution par source ; attribution par source ; attribution par source ; attribution par source ; attribution par source ; attribution par source

Personnalités liées à l'histoire de l'édifice

Société Létrange et Cie (propriétaire)

Description historique

Les Fonderies de Romilly sont créées en 1782 « …pour raffiner, battre et laminer le cuivre à l’usage de la Marine Royale… ». Elles constituent le premier grand établissement de laminage de cuivre installé en France, la production de cuivre laminé et martelé en grande dimension étant jusqu’alors une industrie exclusivement anglaise et totalement absente du territoire français.L’usine est fondée par le banquier et homme d'affaire, originaire de Louviers, Michel-Louis Le Camus de Limare, qui après un voyage d’observation en Angleterre (d'où il ramène technologie et main d’œuvre qualifiée) rachète, le 4 septembre 1781, à Louis Baptiste Lancelevée, conseiller du Roy et procureur en la maîtrise des eaux et forêts de Pont-de-l’Arche, un vaste terrain situé à Romilly traversé par l’Andelle, contre 3 836 livres de rente annuelle. Sur ces terres se trouvent quatre moulins à foulon (les deux moulins de Perpignan et les deux moulins des Ponts) qui travaillent pour les maîtres drapiers de Louviers et d'Elbeuf et qu’il veut remplacer par des fonderies, laminoirs et autres ateliers de métallurgie non ferreuse. S’y trouve également la demeure qui deviendra la maison des administrateurs des Fonderies et abritera les bureaux. La conception du projet est confié à l'architecte militaire Charles-François Mandar.L’implantation des Fonderies à Romilly est officiellement autorisée par l’arrêt du conseil d’État du Roi du 23 avril 1782. Comme le stipule ce document, l’origine de la production de cuivre à Romilly est une soumission « …vue et acceptée par le Ministère de la Marine de fournir pour le service de sa Majesté tous les cuivres à doublage et autre, tant moulés que battus et laminés… ». Les Fonderies de Romilly ont donc pour première fonction la production de plaques de cuivre servant au doublage des coques des navires de la Marine royale dans le but d’améliorer leur protection, leur vitesse et leur maniabilité. Cette production doit permettre de rivaliser avec la marine anglaise qui utilise déjà cette technique et surtout de s’affranchir des importations de plaques de cuivre britanniques. Appliqué d’abord aux navires de guerre, le doublage en cuivre des carènes est rendu obligatoire pour les vaisseaux de ligne français en 1784. Les Fonderies de Romilly, alors en position de monopole, obtiennent un contrat exclusif pour fournir entre 1787 et 1793, tous les ports en plaques de cuivre. Un marché important, quand on sait que pour doubler un navire de 110 m, 33 750 livres de feuilles de cuivre et 4 800 livres de clous sont nécessaires. Le choix d’une implantation dans la basse vallée de l’Andelle s’explique par trois raisons : la proximité du port de Rouen et de la Seine par où transite le cuivre importé de l’étranger (Suède, Danemark, Norvège, Hongrie), l'existence d'un réseau routier ancien entre la capitale régionale et Paris via la vallée de l'Andelle, mais surtout la présence de la rivière qui offre pour ce type d’activité une force hydraulique suffisante, de l’ordre de 260 CV de force utile.Jusqu’en 1785, Michel-Louis Le Camus de Limare reste seul administrateur de l’entreprise. Il investit, avec l’aide d’un négociant havrais M. Chauvel, près de 320 000 livres pour l’aménagement et l’équipement d’une nouvelle usine sur le site dit de Perpignan. Mais, pour faire face aux lourds investissements immobiliers et mobiliers que requièrent un tel établissement, Le Camus de Limare constitue le 16 avril 1785 une société en commandite, dénommée "la société des Fonderies de Romilly" qui compte parmi ses actionnaires : Eugène Isquierdo de Rivera, diplomate et homme d’affaire espagnol, les frères Lecouteulx banquiers parisiens et les frères Lefebvre négociants rouennais. Malgré un capital considérable de 800 000 livres, la société doit en 1787 doubler ses actifs pour consolider ses dettes. Avec un capital porté à 1 600 000 livres, c’est alors une des premières entreprises du royaume. En 1790, son siège social est transféré de Rouen à Paris, où résident les frères Lecouteulx devenus les principaux actionnaires et qui assurent alors la direction des affaires. Mais des tensions se font rapidement sentir et l’organisation de l’entreprise est modifiée : en 1808, les Fonderies de Romilly sont constituées en société anonyme.Les Fonderies de Romilly vont connaître plusieurs étapes de développement et former au final un chapelet d’usines dispersées. Elles sont au nombre de 7 au plus fort de l’activité, c'est à dire au début des années 1840. Ce sont les usines dites du Perpignan, des Ponts, des Bocards, de Bétille, de Besle, des Deux Amants et de Repainville. Toutes sont implantées sur le bras principal de l’Andelle et toutes bien sûr utilisent sa force hydraulique de la rivière pour faire mouvoir leurs machines. La société anonyme des Fonderies de Romilly est autorisée à maintenir en activité les usines qu’elle possède dans la commune en vertu de l'ordonnance royale du 22 janvier 1843 qui réglemente chacune d'elles.L’usine principale, mise en service en 1782, est établie sur le site de Perpignan, dont elle prend le nom. Elle comprend une fonderie (à fourneau à réverbère), un laminoir et une batterie de martinets pour le martelage des barres et petites plaques de cuivre. Des logements ouvriers sont édifiés non loin des ateliers pour loger une partie du personnel. La construction de l’usine des Ponts (pour battre et laminer le cuivre) à la place des deux moulins à foulon acquis en 1781, est autorisée le 28 avril 1788. A partir de 1796, elle assure aussi la fabrication de fil de laiton à partir de métaux provenant des usines d’épingles de L'Aigle et de Rugles.Avant la Révolution française, ces deux unités produisent entre 1 200 et 2 000 tonnes par an de feuilles de doublage, clous, fonds de chaudières, planches, barreaux, viroles, rondelles… et emploient 200 à 250 ouvriers. Après une chute brutale de l'activité durant la période révolutionnaire et les guerres napoléoniennes, la production retrouve son niveau antérieur à partir de 1817. En 1792, la société poursuit son extension en faisant l’acquisition de 4 nouveaux moulins situés en amont des sites de Perpignan et des Ponts. Il s'agit de l’un des deux moulins de Bétille, des deux moulins de Besle (ou de Hollande) et de celui dit de Repainville. Tous les quatre étant jusqu’alors à usage de foulon à draps. En 1810, la société rachète le moulin des Deux Amants et le deuxième moulin de Bétille. L’usine de Besle est édifiée en 1816. Elle est dédiée au laminage du laiton, dit cuivre jaune, préalablement fondu dans l’usine de Perpignan. Elle comprend alors un laminoir double entraîné par 2 roues hydrauliques. En 1819, elle est dotée d’une troisième roue affectée exclusivement au tréfilage du laiton (activité nouvelle en France) qui deviendra en 1833 sa seule activité. En 1823, pour satisfaire une commande de 200 000 kg de cuivre pour la Marine Royale, les deux moulins de Bétille sont transformés en laminoir double (c'est le quatrième des Fonderies de Romilly) entraîné par deux roues de 7 m de diamètre et de 1,60 m de largeur. En 1825, l’usine des Deux Amants est équipée d’une batterie de 5 martinets pour produire des feuilles de zinc (pour toiture et ustensiles de cuisine). En 1826, les Fonderies de Romilly perdent le marché de la Marine Royale, au profit des Fonderies d’Imphy (Nièvre) qui proposent de meilleurs tarifs. Cette date correspond à la fin des relations privilégiées avec la Marine d’État. En 1834, pour faire face à la concurrence, l’usine de Perpignan est modernisée et dotée d’un nouvel atelier de laminage construit dans le prolongement de la fonderie. Les travaux sont réalisés sous la direction de l’ingénieur Achille Ferry, qui est également enseignant à l’école Centrale. A la place de l’atelier primitif en charpente bois, il fait construire une grande halle de 43 m de long sur 29 de large, dotée d’une charpente mixte, en bois et fer, de son invention. Pour entraîner les quatre nouveaux laminoirs, le système hydraulique est également remanié : les deux bras de rivière qui entouraient l’usine primitive et entraînaient plusieurs roues hydrauliques sont remplacés par un canal unique creusé sous la nouvelle halle où est installée une immense roue de type Poncelet à aubes courbes (c'est la première installée dans la vallée de l'Andelle) de 5,7 m de diamètre, développant une puissance de près de 60 CV. En 1837, Achille Ferry se voit confier la rénovation de l’usine des Ponts, qui abritait aussi des laminoirs de cuivre et de laiton. Là encore, c’est un bâtiment de type grande halle doté d’une charpente mixte associant bois et métal, conçue cette fois par le colonel du génie Armand-Rose Emy, qui est édifié. En 1839, l’usine des Ponts et celle des Deux Amants sont, à leur tour, équipées de roues Poncelet et sont alors vouées au laminage du cuivre et du laiton. A partir de 1849, commence la fabrication des tuyaux en cuivre pour les locomotives. Toutes les usines qui constituent les Fonderies de Romilly sont réglementées par l'arrêté préfectoral du 24 février 1842 que confirme l'ordonnance royale du 22 janvier 1843. La seconde moitié du XIXe siècle marque le déclin des Fonderies de Romilly malgré la création en 1849 d’un atelier de fabrication de tuyaux de cuivre pour la construction des locomotives sur le site des Deux Amants, la mise en place d’une nouvelle fonderie de laiton en 1851 et l'installation entre 1856 et 1860 de 4 machines à vapeur servant aux ateliers de fusion, de laminage et de martelage de cuivre. Grâce à ces investissements, le rendement des Fonderies de Romilly a triplé, mais la concurrence étrangère (anglaise et belge notamment) et française (celle des Forges et Fonderies d'Imphy dans la Nièvre) reste encore trop forte. En 1857, les Fonderies de Romilly n'emploient plus que 80 ouvriers. Cette même année, la société Létrange, propriétaire des Fonderies de Saint-Denis (93), reprend la gestion des usines de Romilly. Le traité de libre-échange signé avec l'Angleterre en 1860 marque la fin de l'entreprise : la société des Fonderies de Romilly est définitivement dissoute en 1865 et la même année ses unités de production sont rachetées par la société Létrange et Cie. L’établissement de Romilly devient alors une annexe de l'usine de Saint-Denis. Dès lors aucune modernisation n’est plus apportée à l’établissement, excepté à l’usine de Perpignan où la roue Poncelet est remplacée par une turbine Koechlin de 80 CV, où les transmissions et organes de laminoirs sont renforcés et où la capacité des fours d’affinage est augmentée à 10 000 kg, contre 3 500 kg auparavant. Ces aménagements permettent aux usines de Romilly de fournir, dès 1866, les lourdes pièces destinées à la construction de chaudières de grande dimension (pour le chemin de fer et l’industrie sucrière), qui deviennent alors la production principale de l’usine. A la fin des années 1870, pour palier le déclin des Fonderies, faute d’investissements, l’activité des ateliers est diversifiée. On y fabrique des plaques de cuivre pour le laminage, des cylindres pleins pour la tréfilerie, des cylindres creux pour la production de tuyaux non soudés, des bagues de cuivre pour les balles, des pièces d’artillerie... Les activités de chaudronnerie se développent avec la confection d’appareils de distilleries, de raffineries, de sucreries… En 1894, la société Létrange et Cie décide de se séparer des usines de Romilly et les cède pour la somme de 592 000 F à la société Dupré-Neuvy spécialisée dans la vente des métaux et la fabrication de pompe à eau. Celle-ci, à son tour, revend séparément à différents industriels les 4 unités de production qui étaient encore en fonctionnement. Les Fonderies cessent définitivement leur activité métallurgique en 1896. Établissement exceptionnel et précurseur, les Fonderies de Romilly furent à l’origine du développement de l’industrie métallurgique non-ferreuse dans le département de l’Eure au XIXe siècle, sur les rivières de l’Epte, de la Risle et de l’Iton notamment. Avec une multitude d’usines spécialisées dans la transformation du cuivre, du zinc et du laiton, l’Eure se place au milieu du XIXe siècle à la tête des départements français dans ce secteur.

Description

Matériaux du gros-œuvre

Brique

Source de l'énergie utilisée par l'édifice

Énergie hydraulique ; produite sur place ; roue hydraulique horizontale ; énergie hydraulique ; produite sur place ; turbine hydraulique ; énergie thermique ; produite sur place

Commentaire descriptif de l'édifice

Les Fonderies de Romilly se déploient sur plus d'un kilomètre de distance et comprennent sept unités de production toutes alimentées en énergie par la rivière de l'Andelle :-l'usine de Perpignan-l'usine des Ponts-l'usine de Bétille (ou de Hollande)-l'usine de Besle-l'usine des Deux Amants-l'usine de Repainville-l'usine des Boccards

État de conservation (normalisé)

Détruit ; vestiges ; établissement industriel désaffecté ; remanié

Statut juridique

Statut juridique du propriétaire

Propriété privée

Références documentaires

Date de l'enquête ou du dernier récolement

2016

Date de rédaction de la notice

2018

Noms des rédacteurs de la notice et du dossier

Real Emmanuelle

Typologie du dossier

Dossier avec sous-dossier

Adresse du dossier Inventaire

Région Normandie – Service Inventaire du patrimoine

1/12
Plan sommaire de la rivière avec les usines appartenant à la société des Fonderies Létrange et Cie, 1887 (AD Eure. 18 S 53).
Plan sommaire de la rivière avec les usines appartenant à la société des Fonderies Létrange et Cie, 1887 (AD Eure. 18 S 53).
(c) Région Normandie - Inventaire général ; (c) Archives départementales de l'Eure
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Vue générale des Fonderies de Romilly prise depuis la côte des Deux-Amants, par Le Brun et Cibèle, 1833 (Collection particulière).
Vue générale des Fonderies de Romilly prise depuis la côte des Deux-Amants, par Le Brun et Cibèle, 1833 (Collection particulière).
(c) Région Normandie - Inventaire général ; (c) Collection Privée
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Plan des usines appartenant à MM. Letrange et Cie, avec les transformations projetées - suppression du canal de l’usine de Repainville, 1/2500, 26 décembre 1888 (AD Eure. 18 S 53).
Plan des usines appartenant à MM. Letrange et Cie, avec les transformations projetées - suppression du canal de l’usine de Repainville, 1/2500, 26 décembre 1888 (AD Eure. 18 S 53).
(c) Région Normandie - Inventaire général ; (c) Archives départementales de l'Eure
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Plan de la rivière entre le moulin des Deux Amants et l'usine des Ponts, 16 décembre 1833 (AD Eure. 18 S 53).
Plan de la rivière entre le moulin des Deux Amants et l'usine des Ponts, 16 décembre 1833 (AD Eure. 18 S 53).
(c) Région Normandie - Inventaire général ; (c) Archives départementales de l'Eure
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Plan partiel des usines appartenant à la société anonyme des Fonderies, 5 janvier 1850 (AD Eure. 18 S 53). ; Plan partiel des usines de Bétille et des Ponts appartenant à la société anonymes des Fonderies de Romilly et du moulin de la Nation appartenant à M. Guyant, 5 janvier 1850 (AD Eure. 18 S 53). ; Plan de situation des l'usine des Ponts et de l'usine Bétille, 1850 (AD Eure. 18 S 53).
Plan partiel des usines appartenant à la société anonyme des Fonderies, 5 janvier 1850 (AD Eure. 18 S 53). ; Plan partiel des usines de Bétille et des Ponts appartenant à la société anonymes des Fonderies de Romilly et du moulin de la Nation appartenant à M. Guyant, 5 janvier 1850 (AD Eure. 18 S 53). ; Plan de situation des l'usine des Ponts et de l'usine Bétille, 1850 (AD Eure. 18 S 53).
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Plan rapproché des usines appartenant à la société Létrange et Cie, avec les transformations projetées, 20 février 1888 (AD Eure. 18 S 53).
Plan rapproché des usines appartenant à la société Létrange et Cie, avec les transformations projetées, 20 février 1888 (AD Eure. 18 S 53).
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Plan légendé de l'usine des Ponts, par Le Brun et Cibèle, 1833 (Collection particulière). ; Plan légendé de l'usine des Ponts, par Le Brun et Cibèle, 1833 (Collection particulière).
Plan légendé de l'usine des Ponts, par Le Brun et Cibèle, 1833 (Collection particulière). ; Plan légendé de l'usine des Ponts, par Le Brun et Cibèle, 1833 (Collection particulière).
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Plan général légendé de de l'usine de Perpignan, par Le Brun et Cibèle, 1833. ; Plan général légendé de de l'usine de Perpignan, par Le Brun et Cibèle, 1833 (Collection particulière).
Plan général légendé de de l'usine de Perpignan, par Le Brun et Cibèle, 1833. ; Plan général légendé de de l'usine de Perpignan, par Le Brun et Cibèle, 1833 (Collection particulière).
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Plan des usines des Fonderies à MM. Letrange et Cie et des transformations projetées, 1/2500, 26 décembre 1888 (AD Eure. 18 S 53). ; Plan des usines appartenant à la société Létrange et Cie, avec les transformations projetées, 20 février 1888 (AD Eure. 18 S 53).
Plan des usines des Fonderies à MM. Letrange et Cie et des transformations projetées, 1/2500, 26 décembre 1888 (AD Eure. 18 S 53). ; Plan des usines appartenant à la société Létrange et Cie, avec les transformations projetées, 20 février 1888 (AD Eure. 18 S 53).
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Plan des usines appartenant à la S.A. des Fonderies de Romilly, 30 avril 1841 (AD Eure. 18 S 53).
Plan des usines appartenant à la S.A. des Fonderies de Romilly, 30 avril 1841 (AD Eure. 18 S 53).
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Les fonderies royales de cuivre de Romilly-sur-Andelle fondée en 1782, vue perspective par l'architecte Charles-François Mandar, gravure en 1788 (Collection particulière). ; Vue perspective des fonderies de cuivre établies à Romilly près de Rouen en 1782, projet de l'architecte Mandar - réalisation partielle en 1782, totale en 1788 (Collection particulière). ; Plan perspectif des fonderies de cuivre établies à Romilly près de Rouen en 1782, par Charles-François Mandar architecte, 1788 (Collection particulière).
Les fonderies royales de cuivre de Romilly-sur-Andelle fondée en 1782, vue perspective par l'architecte Charles-François Mandar, gravure en 1788 (Collection particulière). ; Vue perspective des fonderies de cuivre établies à Romilly près de Rouen en 1782, projet de l'architecte Mandar - réalisation partielle en 1782, totale en 1788 (Collection particulière). ; Plan perspectif des fonderies de cuivre établies à Romilly près de Rouen en 1782, par Charles-François Mandar architecte, 1788 (Collection particulière).
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Plan d’une partie de la rivière avec les deux moulins à foulon de Bétille, 3 octobre 1819 (AD Eure. 18 S 53). ; Plan de situation de la portion de l'Andelle appartenant aux Fonderies de Romilly avec le moulin à foulon de Repainville, l'usine (laminoir et tréfilerie de cuivre jaune) de Hollande ou de Besle, le moulin à blé des Deux Amants, les deux moulins à foulon de Bétille, le double laminoir de cuivre des Ponts, le moulin à foulon Malzaise, 3 octobre 1819 (AD Eure. 18 S 53). ; Plan de situation de l'usine des Ponts, 1819 (AD Eure. 18 S 53).
Plan d’une partie de la rivière avec les deux moulins à foulon de Bétille, 3 octobre 1819 (AD Eure. 18 S 53). ; Plan de situation de la portion de l'Andelle appartenant aux Fonderies de Romilly avec le moulin à foulon de Repainville, l'usine (laminoir et tréfilerie de cuivre jaune) de Hollande ou de Besle, le moulin à blé des Deux Amants, les deux moulins à foulon de Bétille, le double laminoir de cuivre des Ponts, le moulin à foulon Malzaise, 3 octobre 1819 (AD Eure. 18 S 53). ; Plan de situation de l'usine des Ponts, 1819 (AD Eure. 18 S 53).
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