Eglise paroissiale Saint-Aubin

Dénomination de l'édifice

Église paroissiale

Vocable - pour les édifices cultuels

Saint-Aubin

Titre courant

Eglise paroissiale Saint-Aubin

Localisation

Hauts-de-France ; Pas-de-Calais (62) ; Bonnières ; R.D. 114

Aire d'étude pour le domaine Inventaire

Pas-de-Calais

Canton

Auxi-le-Château

Adresse de l'édifice

R.D. 114

Références cadastrales

2010 AV 65

Milieu d'implantation pour le domaine Inventaire

En ville

Siècle de la campagne principale de construction

3e quart 20e siècle

Année(s) de(s) campagne(s) de construction

1959

Commentaires concernant la datation

Daté par source

Auteur de l'édifice

Commentaires concernant l'attribution de l'édifice

Attribution par source

Description historique

Malgré le bombardement de Bonnières du 24 décembre 1943, le clocher de l'église des 16e et 17e siècles est resté debout. Le projet initial du conseil municipal est de faire classer les ruines au titre des Monuments Historiques et de faire recontruire l'édifice à l'identique. La même assemblée opte finalement pour un bâtiment plus moderne, dessiné par les architectes Yves Huchez d'Arras et Pierre-André Dufetel de Boulogne-sur-Mer, désignés en 1955. L'église est édifiée en 1959-1961.

Matériaux du gros-œuvre

Brique

Matériaux de la couverture

Tuile

Typologie de plan

Plan allongé

Description de l'élévation intérieure

1 vaisseau

Typologie du couvrement

Lambris de couvrement

Typologie de couverture

Toit à longs pans

Commentaire descriptif de l'édifice

L'église en brique, de plan rectangulaire, est implantée sur la place du village. La nef, au plafond lambrissé, est abondamment éclairée par les baies en dalle de verre éclaté conçues par le verrier Gérard Lardeur, qui occupent toute la surface des murs latéraux. Un campanile est implanté à un angle de la façade. Une sculpture réalisée par l'artiste parisien Maurice Calka, né Moïse Tzalka à Lodz, ancien premier Grand prix de Rome et professeur à l'Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts, a suscité à Bonnières une véritable querelle de l'art sacré. Un bas-relief de la Sainte Face en métal doré, expressionniste, a en effet été retiré par arrêté de l'évêque suite au scandale provoqué par son exposition dans l'église.

Statut juridique du propriétaire

Propriété de la commune

Date de l'enquête ou du dernier récolement

2005

Copyright de la notice

(c) Région Hauts-de-France - Inventaire général

Date de rédaction de la notice

2005

Noms des rédacteurs de la notice et du dossier

Frémaux Céline

Cadre de l'étude

Typologie du dossier

Dossier individuel

Adresse du dossier Inventaire

Conseil régional Hauts-de-France – service de l’Inventaire du patrimoine culturel 151 Bd Hoover 59555 Lille Cedex