Maison ; presbytère
Maison, presbytère
Auvergne-Rhône-Alpes ; Puy-de-Dôme (63) ; Randan ; 57 rue du Commerce
Anciennement région de : Auvergne
Randan
Commerce (rue du) 57
1835 C 914 ; 1984 AI 333
En village
Cour ; jardin ; grange ; étable ; porcherie ; hangar agricole ; puits ; four
1ère moitié 19e siècle
4e quart 19e siècle
1896
Daté par source
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Orléans Eugène-Adélaïde-Louise, d', dite : Madame Adélaïde (personnage célèbre)
En 1835, Adélaïde d'Orléans, alors propriétaire de la maison, conclue avec la municipalité de Randan un échange. Le presbytère, établi près de l'église en limite du château, est cédé à la princesse qui, en contrepartie, donne cette demeure à la commune pour y loger le prêtre de la paroisse. En 1896 le presbytère est surélevé sous la conduite de l'architecte vichyssois Antoine Percilly (adjudicataire : Petit, entrepreneur). Les dépendances ont été détruites après inventaire.
Pisé ; maçonnerie ; enduit ; calcaire ; moellon sans chaîne en pierre de taille ; brique ; bois
Tuile plate mécanique ; tuile plate ; ardoise
Sous-sol ; en rez-de-chaussée surélevé ; étage de comble ; comble à surcroît
Élévation à travées
Toit à longs pans ; croupe ; toit à un pan ; toit en pavillon
Escalier intérieur : escalier tournant à retours, en charpente
Le logis comprend une cave en sous-sol et un rez-de-chaussée surélevé. Deux pièces ont été aménagées dans le surcroît de l'étage de comble créé par la surélévation de la façade principale. Le toit du logis est à longs pans et à croupes mais un des versants est interrompu par la surélévation. Celle-ci est couverte par un pan distinct. La couverture en tuile plate a été partiellement reprise et remplacée par une couverture en tuile mécanique. La partie surélevée possède une couverture en ardoise. Les murs du logis sont revêtus d'un enduit. Sa façade principale donne sur la rue. Elle est précédée d'un jardin. A l'arrière, la demeure ouvre sur une cour où étaient rassemblées les dépendances. La grange et l'étable accolées étaient dotées de toits à longs pans couverts en tuile mécanique. Le four, les porcheries et le hangar possédaient des toits à un pan couverts en tuile plate. Le puits était protégé par un toit en pavillon également couvert en tuile plate. A l'exception du hangar, en bois, les dépendances étaient bâties en pisé, les porcheries présentaient toutefois des reprises en brique et en moellon de calcaire
Logis double en profondeur avec couloir transversal à escalier central,porte de grange en mur gouttereau,porte d'étable en mur gouttereau,porcherie accolée au four,puits circulaire à pompe à volant abrité
Vestiges
Propriété privée
2001
© Région Auvergne - Inventaire général du patrimoine culturel
2003
Bardy Jean-Yves
Dossier individuel
Région Auvergne-Rhône-Alpes - Centre de documentation du patrimoine - 59 boulevard Léon Jouhaux - CS 90706 – 63050 Clermont-Ferrand CEDEX 2 - 04.73.31.84.88