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Plateforme ouverte du patrimoine

Secteur urbain concerté dit quartier de la Noé ou ZAC de la Noé

Désignation

Dénomination de l'édifice

Secteur urbain concerté

Appellation d'usage

Quartier de la Noé ou ZAC de la Noé

Titre courant

Secteur urbain concerté dit quartier de la Noé ou ZAC de la Noé

Localisation

Localisation

Île-de-France ; Yvelines (78) ; Chanteloup-les-Vignes

Aire d'étude pour le domaine Inventaire

Andrésy

Lieu-dit

La Noé

Références cadastrales

1988 AI non cadastré ; 1988 AL non cadastré

Milieu d'implantation pour le domaine Inventaire

En écart

Partie constituante non étudiée

Foyer ; place ; stationnement ; magasin de commerce ; jardin ; terrain de jeu

Historique

Siècle de la campagne principale de construction

3e quart 20e siècle

Année(s) de(s) campagne(s) de construction

1971

Commentaires concernant la datation

Daté par source

Commentaires concernant l'attribution de l'édifice

Attribution par source

Description historique

La commande date de 1964. Elle comprend jusqu'à 4800 logements qui auraient du s'implanter sur 90 hectares des trois communes de Triel-sur-Seine, Chanteloup et Andrésy. Devant l'opposition de deux d'entre elles, le projet est revu à la baisse et entièrement édifié sur Chanteloup, malgré les réticences plus tardives de la commune ; il ne comprend plus que du logement social collectif, les zones pavillonaires et certains équipements publics n'étant pas réalisés. L'opposition des Chantelouvrais oblige également l'architecte à modifier son concept. Il doit supprimer les immeubles de grandes hauteurs afin de préserver les vues vers la Seine depuis le village, implanté à mi-pente du coteau de l'Hautil. Comprenant à la fois des PLR (programmes à Loyers Réduits) des HLM et des ILM (Immeubles à Loyers Moyens) l'ensemble, construit entre 1971 et 1976, totalise finalement 2229 logements de 1 à 5 pièces. La société grenobloise Pascal signe le marché en tant que mandataire commun d'un groupement d'une vingtaine d'entreprises. Elle construit sur le site une usine afin de préfabriquer tous les panneaux composant les murs. Dès les premières livraisons (1973) , les difficultés se succèdent. Les commerces n'ouvrent pas (l'office HLM exige un prix trop élevé pour le loyer) ; les équipements publics tardent à être réalisés ; les chaufferies fonctionnent mal ; les premières malfaçons apparaissent. La crise économique (le quartier est notamment construit pour loger les ouvrier de Simca, devenu PSA, à Poissy) , la politique de peuplement des offices, l'isolement et la disproportion de l'ensemble par rapport au village, le parti excluant les voitures sur des parkings en périphérie du site pour laisser libre place aux espaces de circulation piétons transforment la Noé en un quartier en grande difficulté. Les premières opérations de rénovation commencent dès les années 1980. Certains immeubles sont détruits. La rénovation se poursuit aujourd'hui dans le cadre de l'ANRU, les enjeux majeurs du point de vue urbain étant de désenclaver le quartier en ouvrant des circulations routières traversant le secteur de part en part et de construire de nouveaux logements qui apporteront davantage de diversité formelle et de mixité sociale.

Description

Matériaux du gros-œuvre

Béton ; carrelage mural

Matériaux de la couverture

Béton en couverture

Typologie de plan

Ensemble concerté

Partie d'élévation extérieure

Élévation ordonnancée

Typologie de couverture

Terrasse

Emplacement, forme et structure de l’escalier

Escalier dans-oeuvre : escalier en vis sans jour, en maçonnerie ; ascenseur

Couverts ou découverts du jardin de l'édifice

Pelouse ; groupe d'arbres

Commentaire descriptif de l'édifice

Aillaud a voulu un espace d'une grande diversité urbaine. Rejetant les grandes pelouses pour leur manque d'urbanité, il implante des bâtiments déterminant des places différenciées afin d'éviter la monotonie. Les voitures sont repoussées sur des parkings largement plantés d'arbres en périphérie et l'architecte trace des circulations piétonnes et des passages étroits d'une zone à l'autre au cœur du quartier, préférant l'attrait des cheminements sinueux aux grandes perspectives. Chaque place est soigneusement conçue : rampes et gradins des dénivelés, revêtements et dessins des sols, sculptures monumentales, jeux d'enfants. Les immeubles R + 2 à 4, certains courbes, aux logements traversants, sont construits selon un procédé de préfabrication lourde. Les panneaux des murs (comprenant huisseries, châssis de fenêtres, canalisations électriques et revêtement de grès cérame ou de pâte de verre pour les panneaux extérieurs) sont coulés sur place puis mis en place. La variété de l'implantation des éléments standardisés (une cellule droite ; une cellule courbe ; 5 modèles de baies) et la couleur créent la diversité architecturale.

Technique du décor des immeubles par nature

Sculpture ; céramique ; céramique (étudiée dans la base Palissy)

Indexation iconographique normalisée

Ornement à forme architecturale ; main ; ornement à forme géométrique ; animal ; serpent ; pied

Description de l'iconographie

Des murs pignon en carrelage présentent des décors d'arcades, de fontaines stylisées, de feuillages stylisés et de deux mains, évocation de La création de l'Homme de Michel-Ange à la chapelle Sixtine. Des sculptures monumentales en béton (hippopotame, serpent, pied) ornent des places.

État de conservation (normalisé)

Mauvais état

Protection et label

Référence aux objets conservés

IM78002597

Références documentaires

Date de l'enquête ou du dernier récolement

2007

Date de rédaction de la notice

2007

Noms des rédacteurs de la notice et du dossier

Duhau Isabelle

Cadre de l'étude

Typologie du dossier

Dossier avec sous-dossier

Adresse du dossier Inventaire

Conseil régional d'Ile-De-France - Service de l'Inventaire général du patrimoine culturel 115, rue du Bac 75007 Paris - 01.53.85.59.93

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Vue aérienne : en bas à gauche, le parking de la gare, puis la place des Quatre-Vents ; en haut à gauche, la place du Bestiaire, à droite de celle-ci la place de l'Hippodrome ; devant cette dernière, la place de la Lance (au plan totalement circulaire) ; en haut à droite la place de l'Eté-Vert.
Vue aérienne : en bas à gauche, le parking de la gare, puis la place des Quatre-Vents ; en haut à gauche, la place du Bestiaire, à droite de celle-ci la place de l'Hippodrome ; devant cette dernière, la place de la Lance (au plan totalement circulaire) ; en haut à droite la place de l'Eté-Vert.
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Office d'HLM de la Seine. Chanteloup, projet d'un aménagement de 2500 logements. Esquisse du plan masse, août 1964, signé Emile Aillaud. Les bâtiments ne s'étendent pas sur la commune de Triel, mais uniquement sur Chanteloup et Andrésy. La réserve pour l'autoroute n'est pas encore nécessaire.
Office d'HLM de la Seine. Chanteloup, projet d'un aménagement de 2500 logements. Esquisse du plan masse, août 1964, signé Emile Aillaud. Les bâtiments ne s'étendent pas sur la commune de Triel, mais uniquement sur Chanteloup et Andrésy. La réserve pour l'autoroute n'est pas encore nécessaire.
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Zone à urbaniser de Chanteloup-les-Vignes. Carte de la terre végétale, établie par le service régional de l'équipement de la région parisienne, s. d. (vers 1964).
Zone à urbaniser de Chanteloup-les-Vignes. Carte de la terre végétale, établie par le service régional de l'équipement de la région parisienne, s. d. (vers 1964).
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Office d'HLM de la Seine. Chanteloup, projet d'un aménagement de 3000 logements. Esquisse du plan masse, déc. 1964, signé Emile Aillaud. Les bâtiments ne s'étendent pas sur la commune de Triel, mais uniquement sur Chanteloup et Andrésy. Une déviation de la route de Poissy (conduisant au village) est dessinée.
Office d'HLM de la Seine. Chanteloup, projet d'un aménagement de 3000 logements. Esquisse du plan masse, déc. 1964, signé Emile Aillaud. Les bâtiments ne s'étendent pas sur la commune de Triel, mais uniquement sur Chanteloup et Andrésy. Une déviation de la route de Poissy (conduisant au village) est dessinée.
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Office d'HLM de la Seine. Andrésy Chanteloup, projet d'aménagement d'un ensemble de 3500 logements. Esquisse du plan masse, déc. 1964, signé Emile Aillaud. La zone nord-est / sud-ouest à réserver pour le passage de l'autoroute est tracée qui coupe litéralement la cité en deux. Les tours et barres alternent avec des zones de maisons patio.
Office d'HLM de la Seine. Andrésy Chanteloup, projet d'aménagement d'un ensemble de 3500 logements. Esquisse du plan masse, déc. 1964, signé Emile Aillaud. La zone nord-est / sud-ouest à réserver pour le passage de l'autoroute est tracée qui coupe litéralement la cité en deux. Les tours et barres alternent avec des zones de maisons patio.
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Esquisse du plan masse pour un ensemble de 3800 logements, présentant trois zones, l'une sur Triel, la seconde sur Chanteloup et la troisième sur Andrésy, mai 1965. Une nouvelle gare, sur Chanteloup est dessinée. Aucune construction ne figure plus sur la zone réservée à l'autoroute.
Esquisse du plan masse pour un ensemble de 3800 logements, présentant trois zones, l'une sur Triel, la seconde sur Chanteloup et la troisième sur Andrésy, mai 1965. Une nouvelle gare, sur Chanteloup est dessinée. Aucune construction ne figure plus sur la zone réservée à l'autoroute.
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Office d'HLM de la Seine. Andrésy Chanteloup, projet d'aménagement d'un ensemble de 3500 logements. Projet de plan masse, septembre 1965. De nouveau, la cité se déploie à Chanteloup, sur le terrain à l'est de la route de Poissy, et sur Andrésy.
Office d'HLM de la Seine. Andrésy Chanteloup, projet d'aménagement d'un ensemble de 3500 logements. Projet de plan masse, septembre 1965. De nouveau, la cité se déploie à Chanteloup, sur le terrain à l'est de la route de Poissy, et sur Andrésy.
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esquisse axonométrie d'un assemblage de maisons patio.
esquisse axonométrie d'un assemblage de maisons patio.
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Office d'HLM de la Seine. Chanteloup, projet d'aménagement d'un ensemble de 3000 logements. Maison patio, janvier 1965, signé Emile Aillaud.
Office d'HLM de la Seine. Chanteloup, projet d'aménagement d'un ensemble de 3000 logements. Maison patio, janvier 1965, signé Emile Aillaud.
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Agence foncière et technique de la région parisienne. Création d'un groupe de logements. Chanteloup les Vignes, Andrésy, Triel. Plan masse, octobre 1968, signé Emile Aillaud. Partie de l'ensemble situé à l'est de la route de Poissy et jusqu'à Andrésy. Des bâtiments serpentins apparaissent ; les zones non aedificandi le long de l'autoroute sont réservées aux équipements sportifs.
Agence foncière et technique de la région parisienne. Création d'un groupe de logements. Chanteloup les Vignes, Andrésy, Triel. Plan masse, octobre 1968, signé Emile Aillaud. Partie de l'ensemble situé à l'est de la route de Poissy et jusqu'à Andrésy. Des bâtiments serpentins apparaissent ; les zones non aedificandi le long de l'autoroute sont réservées aux équipements sportifs.
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Agence foncière et technique de la région parisienne. Création d'un groupe de logements. Chanteloup-les-Vignes, Andrésy, Triel. Plan masse, octobre 1968, signé Emile Aillaud. Partie de l'ensemble situé à l'ouest de la route de Poissy et jusqu'à Triel. Cette zone ne comprend que du collectif et déjà une bonne partie des bâtiments qui seront finalement réalisés. Les parcelles que l'agence foncière n'a pas pu acquérir sont bien matérialisées.
Agence foncière et technique de la région parisienne. Création d'un groupe de logements. Chanteloup-les-Vignes, Andrésy, Triel. Plan masse, octobre 1968, signé Emile Aillaud. Partie de l'ensemble situé à l'ouest de la route de Poissy et jusqu'à Triel. Cette zone ne comprend que du collectif et déjà une bonne partie des bâtiments qui seront finalement réalisés. Les parcelles que l'agence foncière n'a pas pu acquérir sont bien matérialisées.
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Agence foncière et technique de la région parisienne. Création d'un groupe de logements. Chanteloup les Vignes, Andrésy, Triel. Plan d'équipements divers, 15 fév et 15 juillet 1968, signé Emile Aillaud. Partie de l'ensemble situé à l'ouest de la route de Poissy et jusqu'à Triel. En rouge, sont rajoutés les lots et le nombre de logements par lot.
Agence foncière et technique de la région parisienne. Création d'un groupe de logements. Chanteloup les Vignes, Andrésy, Triel. Plan d'équipements divers, 15 fév et 15 juillet 1968, signé Emile Aillaud. Partie de l'ensemble situé à l'ouest de la route de Poissy et jusqu'à Triel. En rouge, sont rajoutés les lots et le nombre de logements par lot.
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Agence foncière et technique de la région parisienne. Création d'un groupe de logements. Chanteloup-les-Vignes, Andrésy, Triel. Plan équipements divers, 15 fév et 15 juillet 1968, signé Emile Aillaud. Partie de l'ensemble situé à l'est de la route de Poissy et jusqu'à Andrésy. En rouge, sont rajoutés les lots et le nombre de logements par lot.
Agence foncière et technique de la région parisienne. Création d'un groupe de logements. Chanteloup-les-Vignes, Andrésy, Triel. Plan équipements divers, 15 fév et 15 juillet 1968, signé Emile Aillaud. Partie de l'ensemble situé à l'est de la route de Poissy et jusqu'à Andrésy. En rouge, sont rajoutés les lots et le nombre de logements par lot.
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Agence foncière et technique de la région parisienne. Création d'un groupe de logements. Chanteloup-les-Vignes, Andrésy, Triel. Plan masse, janvier 1970, signé Emile Aillaud. Zone à l'est de la route de Poissy, les bâtiments dessinés ne concernent plus que la commune de Chanteloup.
Agence foncière et technique de la région parisienne. Création d'un groupe de logements. Chanteloup-les-Vignes, Andrésy, Triel. Plan masse, janvier 1970, signé Emile Aillaud. Zone à l'est de la route de Poissy, les bâtiments dessinés ne concernent plus que la commune de Chanteloup.
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Agence foncière et technique de la région parisienne. Création d'un groupe de logements. Chanteloup-les-Vignes, Andrésy, Triel. Plan masse, janvier 1970, signé Emile Aillaud. Zone à l'ouest de la route de Poissy, les bâtiments dessinés ne concernent quasiment plus que la commune de Chanteloup.
Agence foncière et technique de la région parisienne. Création d'un groupe de logements. Chanteloup-les-Vignes, Andrésy, Triel. Plan masse, janvier 1970, signé Emile Aillaud. Zone à l'ouest de la route de Poissy, les bâtiments dessinés ne concernent quasiment plus que la commune de Chanteloup.
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Agence foncière et technique de la région parisienne. Création d'un groupe de logements. Chanteloup les Vignes, Andrésy, Triel. Répartition des logements, nombre de niveaux, janvier 1970, signé Emile Aillaud. Voir par exemple le bâtiment serpentin H qui s'échelonnait de 3 à 14 niveaux.
Agence foncière et technique de la région parisienne. Création d'un groupe de logements. Chanteloup les Vignes, Andrésy, Triel. Répartition des logements, nombre de niveaux, janvier 1970, signé Emile Aillaud. Voir par exemple le bâtiment serpentin H qui s'échelonnait de 3 à 14 niveaux.
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Office public d'HLM interdépartemental de la région parisienne, office public d'HLM interdépartemental de l'Essonne, du Val-d'Oise et des Yvelines, Société d'économie mixte du département de la Seine. Chanteloup les Vignes, ' La Daurade ', repérage des tranches, plan masse. Mai, oct. 1970, signé Emile Aillaud. Partie est de la cité. Les zones D et celle, non nommée au sud, ainsi que la E, seront finalement construites.
Office public d'HLM interdépartemental de la région parisienne, office public d'HLM interdépartemental de l'Essonne, du Val-d'Oise et des Yvelines, Société d'économie mixte du département de la Seine. Chanteloup les Vignes, ' La Daurade ', repérage des tranches, plan masse. Mai, oct. 1970, signé Emile Aillaud. Partie est de la cité. Les zones D et celle, non nommée au sud, ainsi que la E, seront finalement construites.
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Office public d'HLM interdépartemental de la région parisienne, office public d'HLM interdépartemental de l'Essonne, du Val-d'Oise et des Yvelines, Société d'économie mixte du département de la Seine. Chanteloup les Vignes, ' La Daurade ', repérage des tranches, plan masse. Mai, oct. 1970, signé Emile Aillaud. Partie ouest de la cité. Les zones H, L, J, K, L, M, P et R seront finalement construites. Voir la zone R, appelée par la suite place du Bestiaire, dont les deux serpentins auraient dû se poursuivre et qui finalement seront définitivement stoppés à la première phase.
Office public d'HLM interdépartemental de la région parisienne, office public d'HLM interdépartemental de l'Essonne, du Val-d'Oise et des Yvelines, Société d'économie mixte du département de la Seine. Chanteloup les Vignes, ' La Daurade ', repérage des tranches, plan masse. Mai, oct. 1970, signé Emile Aillaud. Partie ouest de la cité. Les zones H, L, J, K, L, M, P et R seront finalement construites. Voir la zone R, appelée par la suite place du Bestiaire, dont les deux serpentins auraient dû se poursuivre et qui finalement seront définitivement stoppés à la première phase.
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Vue d'une maquette de travail montrant le travail d'Aillaud sur l'étagement des hauteurs des bâtiments et le traitement coloré des façades.
Vue d'une maquette de travail montrant le travail d'Aillaud sur l'étagement des hauteurs des bâtiments et le traitement coloré des façades.
© Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturel ; © Ministère de la culture
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Autre vue d'une maquette de travail montrant le travail d'Aillaud sur l'étagement des hauteurs des bâtiments et le traitement coloré des façades.
Autre vue d'une maquette de travail montrant le travail d'Aillaud sur l'étagement des hauteurs des bâtiments et le traitement coloré des façades.
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Chanteloup les Vignes, plan de délimitation de la ZAC, février 1972. On voit comment l'impossibilité d'acquérir quelques parcelles au coeur de la zone a contraint le dessin du projet définitif.
Chanteloup les Vignes, plan de délimitation de la ZAC, février 1972. On voit comment l'impossibilité d'acquérir quelques parcelles au coeur de la zone a contraint le dessin du projet définitif.
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Agence foncière et technique de la région parisienne. Dossier de réalisation de la zone d'aménagement concerté de Chanteloup La Daurade. Plan d'aménagement de la zone, équipements tertiaires, mai 1972. Emile Aillaud, architecte. Des équipements projetés, seul le groupe scolaire n° 3 a été réalisé dans un premier temps (à côté de l'église, jamais réalisée).
Agence foncière et technique de la région parisienne. Dossier de réalisation de la zone d'aménagement concerté de Chanteloup La Daurade. Plan d'aménagement de la zone, équipements tertiaires, mai 1972. Emile Aillaud, architecte. Des équipements projetés, seul le groupe scolaire n° 3 a été réalisé dans un premier temps (à côté de l'église, jamais réalisée).
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Agence foncière et technique de la région parisienne. Dossier de réalisation de la zone d'aménagement concerté de Chanteloup La Daurade. Plan d'aménagement de la zone, implantation et hauteurs autorisées, mai 1972. Emile Aillaud, architecte.
Agence foncière et technique de la région parisienne. Dossier de réalisation de la zone d'aménagement concerté de Chanteloup La Daurade. Plan d'aménagement de la zone, implantation et hauteurs autorisées, mai 1972. Emile Aillaud, architecte.
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Agence foncière et technique de la région parisienne. Dossier de réalisation de la zone d'aménagement concerté de Chanteloup La Daurade. Plan d'aménagement de la zone, servitudes d'utilité publique, mai 1972, revu en octobre 1973, approuvé et arrêté par le préfet en février 1974. Emile Aillaud, architecte. Les tracés hachurés correspondaient à des voies communales.
Agence foncière et technique de la région parisienne. Dossier de réalisation de la zone d'aménagement concerté de Chanteloup La Daurade. Plan d'aménagement de la zone, servitudes d'utilité publique, mai 1972, revu en octobre 1973, approuvé et arrêté par le préfet en février 1974. Emile Aillaud, architecte. Les tracés hachurés correspondaient à des voies communales.
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Agence foncière et technique de la région parisienne. Dossier de réalisation de la zone d'aménagement concerté de Chanteloup La Daurade. Plan d'aménagement de la zone, viabilité zonage, équipements publics, mai 1972, approuvé et arrêté par le préfet en février 1974. Emile Aillaud, architecte. Les tracés hachurés correspondaient à des voies communales.
Agence foncière et technique de la région parisienne. Dossier de réalisation de la zone d'aménagement concerté de Chanteloup La Daurade. Plan d'aménagement de la zone, viabilité zonage, équipements publics, mai 1972, approuvé et arrêté par le préfet en février 1974. Emile Aillaud, architecte. Les tracés hachurés correspondaient à des voies communales.
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Agence foncière et technique de la région parisienne. Dossier de réalisation de la zone d'aménagement concerté de Chanteloup La Daurade. Implantations et hauteurs autorisées, mai 1972, modifications octobre 1973, approuvé et arrêté par le préfet février 1974. Emile Aillaud, architecte.
Agence foncière et technique de la région parisienne. Dossier de réalisation de la zone d'aménagement concerté de Chanteloup La Daurade. Implantations et hauteurs autorisées, mai 1972, modifications octobre 1973, approuvé et arrêté par le préfet février 1974. Emile Aillaud, architecte.
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Ministère de l'équipement et du logement, Politique des modèles. Modèle La Daurade. Emile Aillaud, architecte. OCIB, BET. Pascal, entreprise. S. d. (les pièces écrites du dossier sont datées d'octobre 1972). Le concours des modèles 1972 comprenait 1000 logements collectifs.
Ministère de l'équipement et du logement, Politique des modèles. Modèle La Daurade. Emile Aillaud, architecte. OCIB, BET. Pascal, entreprise. S. d. (les pièces écrites du dossier sont datées d'octobre 1972). Le concours des modèles 1972 comprenait 1000 logements collectifs.
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Ministère de l'équipement et du logement, Politique des modèles. Modèle La Daurade, assemblage des cellules. Emile Aillaud, architecte. OCIB, BET. Pascal, entreprise. S. d. (les pièces écrites du dossier sont datées d'octobre 1972).
Ministère de l'équipement et du logement, Politique des modèles. Modèle La Daurade, assemblage des cellules. Emile Aillaud, architecte. OCIB, BET. Pascal, entreprise. S. d. (les pièces écrites du dossier sont datées d'octobre 1972).
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Office public d'HLM interdépartemental de la région parisienne, office public d'HLM interdépartemental de l'Essonne, du Val-d'Oise et des Yvelines, société la Lutèce, Société immobilière de Pissefontaine, Société coopérative de l'Ile de France. Chanteloup-les-Vignes, La Daurade, plan de recollement n° 2 des espaces verts, octobre 1975. Emile Aillaud architecte. Partie est de la cité.
Office public d'HLM interdépartemental de la région parisienne, office public d'HLM interdépartemental de l'Essonne, du Val-d'Oise et des Yvelines, société la Lutèce, Société immobilière de Pissefontaine, Société coopérative de l'Ile de France. Chanteloup-les-Vignes, La Daurade, plan de recollement n° 2 des espaces verts, octobre 1975. Emile Aillaud architecte. Partie est de la cité.
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Office public d'HLM interdépartemental de la région parisienne, office public d'HLM interdépartemental de l'Essonne, du Val-d'Oise et des Yvelines, société la Lutèce, Société immobilière de Pissefontaine, Société coopérative de l'Ile de France. Chanteloup-les-Vignes, La Daurade, plan de recollement n° 2 des espaces verts, octobre 1975. Emile Aillaud architecte. Partie ouest de la cité.
Office public d'HLM interdépartemental de la région parisienne, office public d'HLM interdépartemental de l'Essonne, du Val-d'Oise et des Yvelines, société la Lutèce, Société immobilière de Pissefontaine, Société coopérative de l'Ile de France. Chanteloup-les-Vignes, La Daurade, plan de recollement n° 2 des espaces verts, octobre 1975. Emile Aillaud architecte. Partie ouest de la cité.
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Chanteloup les Vignes, la Daurade. Plantation d'arbres, plan de recollement, décembre 1977. N. s.
Chanteloup les Vignes, la Daurade. Plantation d'arbres, plan de recollement, décembre 1977. N. s.
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Société anonyme d'HLM La Lutèce. Chanteloup les Vignes, foyer des travailleurs célibataires, 600 lits. Plan masse. Emile Aillaud architecte. Plan n. d. (vers 1972). L'ensemble construit à l'est de la cour Verte, suivant des prestations similaires à celles de l'opération de la Daurade, a été détruit dans les années 1980.
Société anonyme d'HLM La Lutèce. Chanteloup les Vignes, foyer des travailleurs célibataires, 600 lits. Plan masse. Emile Aillaud architecte. Plan n. d. (vers 1972). L'ensemble construit à l'est de la cour Verte, suivant des prestations similaires à celles de l'opération de la Daurade, a été détruit dans les années 1980.
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Société anonyme d'HLM La Lutèce. Chanteloup les Vignes, foyer des travailleurs célibataires, 600 lits. Plan d'un rez-de-chaussée type. Emile Aillaud architecte. janvier 1972.
Société anonyme d'HLM La Lutèce. Chanteloup les Vignes, foyer des travailleurs célibataires, 600 lits. Plan d'un rez-de-chaussée type. Emile Aillaud architecte. janvier 1972.
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Société anonyme d'HLM La Lutèce. Chanteloup les Vignes, foyer des travailleurs célibataires, 249 chambres. Plan d'un groupe sanitaire en étage. Emile Aillaud architecte. Janvier/octobre 1972. Le cartouche indique les modificatifs successifs, dont la dernière : suppression des lavabos, pour ne conserver qu'un bac à laver et un lavabo pour quatre douches.
Société anonyme d'HLM La Lutèce. Chanteloup les Vignes, foyer des travailleurs célibataires, 249 chambres. Plan d'un groupe sanitaire en étage. Emile Aillaud architecte. Janvier/octobre 1972. Le cartouche indique les modificatifs successifs, dont la dernière : suppression des lavabos, pour ne conserver qu'un bac à laver et un lavabo pour quatre douches.
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Société anonyme d'HLM La Lutèce. Chanteloup les Vignes, foyer des travailleurs célibataires, 600 lits. Proposition d'aménagement mobilier des chambres. Emile Aillaud architecte. Janvier 1972. Les travailleurs sont répartis dans des chambres individuelles (9,45 m²), chambres doubles (15,20 m²) ou chambres à trois lits (29 m²).
Société anonyme d'HLM La Lutèce. Chanteloup les Vignes, foyer des travailleurs célibataires, 600 lits. Proposition d'aménagement mobilier des chambres. Emile Aillaud architecte. Janvier 1972. Les travailleurs sont répartis dans des chambres individuelles (9,45 m²), chambres doubles (15,20 m²) ou chambres à trois lits (29 m²).
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Plan de la zone J, place du Trident, aménagements, détails des espaces des plantations, des niveaux, des marches etc. Emile Aillaud, architecte, 1974/75. Exemple du niveau de détail des plans d'Aillaud pour les espaces publics. A noter : l'implantation de l'hôtel de ville (jamais construit) qui aurait dû refermer la place de la Coquille.
Plan de la zone J, place du Trident, aménagements, détails des espaces des plantations, des niveaux, des marches etc. Emile Aillaud, architecte, 1974/75. Exemple du niveau de détail des plans d'Aillaud pour les espaces publics. A noter : l'implantation de l'hôtel de ville (jamais construit) qui aurait dû refermer la place de la Coquille.
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Chanteloup les Vignes, hôtel de ville. Plan du rez-de-jardin, 1974. Emile Aillaud architecte. Le bâtiment n'a pas été construit.
Chanteloup les Vignes, hôtel de ville. Plan du rez-de-jardin, 1974. Emile Aillaud architecte. Le bâtiment n'a pas été construit.
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Chanteloup les Vignes, hôtel de ville. Plan de l'étage, 1974. Emile Aillaud architecte. Le bâtiment n'a pas été construit.
Chanteloup les Vignes, hôtel de ville. Plan de l'étage, 1974. Emile Aillaud architecte. Le bâtiment n'a pas été construit.
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Chanteloup les Vignes, hôtel de ville. Coupes, 1974. Emile Aillaud architecte. Le bâtiment n'a pas été construit.
Chanteloup les Vignes, hôtel de ville. Coupes, 1974. Emile Aillaud architecte. Le bâtiment n'a pas été construit.
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Chanteloup les Vignes, hôtel de ville. Façades ouest et nord, 1974. Emile Aillaud architecte. Le bâtiment n'a pas été construit. Les façades étaient prévues recouvertes de marbre blanc.
Chanteloup les Vignes, hôtel de ville. Façades ouest et nord, 1974. Emile Aillaud architecte. Le bâtiment n'a pas été construit. Les façades étaient prévues recouvertes de marbre blanc.
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Chanteloup les Vignes, hôtel de ville. Façade est, 1974. Emile Aillaud architecte. Le bâtiment n'a pas été construit. Les façades étaient prévues recouvertes de marbre blanc.
Chanteloup les Vignes, hôtel de ville. Façade est, 1974. Emile Aillaud architecte. Le bâtiment n'a pas été construit. Les façades étaient prévues recouvertes de marbre blanc.
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Chanteloup les Vignes, hôtel de ville. Façade sud, 1974. Emile Aillaud architecte. Le bâtiment n'a pas été construit. Les façades étaient prévues recouvertes de marbre blanc.
Chanteloup les Vignes, hôtel de ville. Façade sud, 1974. Emile Aillaud architecte. Le bâtiment n'a pas été construit. Les façades étaient prévues recouvertes de marbre blanc.
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Panneau de chantier de la ZAC de Chanteloup, précisant ' première tranche 2659 logements '. Une banderole portant le slogan ' non à la daurade et à ses requins ' le recouvre en partie.
Panneau de chantier de la ZAC de Chanteloup, précisant ' première tranche 2659 logements '. Une banderole portant le slogan ' non à la daurade et à ses requins ' le recouvre en partie.
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Photo du chantier, on observe la mise en place de panneaux préfabriqués en RDC
Photo du chantier, on observe la mise en place de panneaux préfabriqués en RDC
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Vue du chantier, bâtiment courbe en construction au second plan ; au premier plan, escaliers pré-fabriqués stockés au sol.
Vue du chantier, bâtiment courbe en construction au second plan ; au premier plan, escaliers pré-fabriqués stockés au sol.
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Vue du chantier prise depuis les voies de chemin de fer. A droite, un camion transporte un panneau préfabriqué de RDC.
Vue du chantier prise depuis les voies de chemin de fer. A droite, un camion transporte un panneau préfabriqué de RDC.
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Autre vue du chantier.
Autre vue du chantier.
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Page de couverture de la brochure éditée par l'office public d'HLM interdépartemental de la région parisienne pour vanter ses réalisations de Chanteloup.
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Page intitulée ' Venez vivre à Chanteloup ' de la brochure éditée par l'office public d'HLM interdépartemental de la région parisienne pour vanter ses réalisations de Chanteloup.
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Page intitulée ' Situation ' de la brochure éditée par l'office public d'HLM interdépartemental de la région parisienne pour vanter ses réalisations de Chanteloup.
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Page intitulée ' Environnement ' de la brochure éditée par l'office public d'HLM interdépartemental de la région parisienne pour vanter ses réalisations de Chanteloup.
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Page présentant une image de la place de l'hippodromme de la brochure éditée par l'office public d'HLM interdépartemental de la région parisienne pour vanter ses réalisations de Chanteloup.
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Page intitulée ' Pour vous et vos enfants ' (photo de la place du Pas) de la brochure éditée par l'office public d'HLM interdépartemental de la région parisienne pour vanter ses réalisations de Chanteloup.
Page intitulée ' Pour vous et vos enfants ' (photo de la place du Pas) de la brochure éditée par l'office public d'HLM interdépartemental de la région parisienne pour vanter ses réalisations de Chanteloup.
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Page montrant des images de différentes aires de jeux de la brochure éditée par l'office public d'HLM interdépartemental de la région parisienne pour vanter ses réalisations de Chanteloup.
Page montrant des images de différentes aires de jeux de la brochure éditée par l'office public d'HLM interdépartemental de la région parisienne pour vanter ses réalisations de Chanteloup.
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Page intitulée ' L'architecture ' de la brochure éditée par l'office public d'HLM interdépartemental de la région parisienne pour vanter ses réalisations de Chanteloup.
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Page intitulée ' le chauffage ' de la brochure éditée par l'office public d'HLM interdépartemental de la région parisienne pour vanter ses réalisations de Chanteloup.
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Page intitulée ' les appartements HLM ' (plans des studio et 2 à 5 pièces) de la brochure éditée par l'office public d'HLM interdépartemental de la région parisienne pour vanter ses réalisations de Chanteloup.
Page intitulée ' les appartements HLM ' (plans des studio et 2 à 5 pièces) de la brochure éditée par l'office public d'HLM interdépartemental de la région parisienne pour vanter ses réalisations de Chanteloup.
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Page présentant un gros plan de la statue du Pas, place du Pas, dans la brochure éditée par l'office public d'HLM interdépartemental de la région parisienne pour vanter ses réalisations de Chanteloup.
Page présentant un gros plan de la statue du Pas, place du Pas, dans la brochure éditée par l'office public d'HLM interdépartemental de la région parisienne pour vanter ses réalisations de Chanteloup.
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Page intitulée ' les ILM ' (plans des 2 à 5 pièces) de la brochure éditée par l'office public d'HLM interdépartemental de la région parisienne pour vanter ses réalisations de Chanteloup.
Page intitulée ' les ILM ' (plans des 2 à 5 pièces) de la brochure éditée par l'office public d'HLM interdépartemental de la région parisienne pour vanter ses réalisations de Chanteloup.
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Page intitulée ' loyers ' indiquant les prix pour chaque catégorie de logement, de la brochure éditée par l'office public d'HLM interdépartemental de la région parisienne pour vanter ses réalisations de Chanteloup.
Page intitulée ' loyers ' indiquant les prix pour chaque catégorie de logement, de la brochure éditée par l'office public d'HLM interdépartemental de la région parisienne pour vanter ses réalisations de Chanteloup.
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Quatrième de couverture présentant une image des murs pignon des Poètes de la brochure éditée par l'office public d'HLM interdépartemental de la région parisienne pour vanter ses réalisations de Chanteloup.
Quatrième de couverture présentant une image des murs pignon des Poètes de la brochure éditée par l'office public d'HLM interdépartemental de la région parisienne pour vanter ses réalisations de Chanteloup.
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Vue aérienne de la ZAC durant le chantier. A gauche de l'image, la place de l'Eté Vert n'est pas complètement sortie de terre. Au fond à droite, au delà du chemin de fer, l'usine de préfabrication des panneaux de façade de l'entreprise Pascal. A l'extrème droite de l'image, la gare n'est pas encore réalisée. Au centre, les places du Pas et des Pierreuses ne sont pas commencées.
Vue aérienne de la ZAC durant le chantier. A gauche de l'image, la place de l'Eté Vert n'est pas complètement sortie de terre. Au fond à droite, au delà du chemin de fer, l'usine de préfabrication des panneaux de façade de l'entreprise Pascal. A l'extrème droite de l'image, la gare n'est pas encore réalisée. Au centre, les places du Pas et des Pierreuses ne sont pas commencées.
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Vue aérienne de la partie est de la ZAC durant le chantier. A gauche de l'image, la résidence pour personnes agées n'est pas encore construite. Au centre en arrière plan (au delà de la Cour Verte), le foyer de travailleurs célibataires de La Lutèce est construit.
Vue aérienne de la partie est de la ZAC durant le chantier. A gauche de l'image, la résidence pour personnes agées n'est pas encore construite. Au centre en arrière plan (au delà de la Cour Verte), le foyer de travailleurs célibataires de La Lutèce est construit.
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Vue d'ensemble de la place des Quatre-Vents, dans l'axe l'accès vers la gare.
Vue d'ensemble de la place des Quatre-Vents, dans l'axe l'accès vers la gare.
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Détail de l'élévation d'un des bâtiments de la place des Quatre-Vents. Le quadrillage que forment les panneaux de façade est bien lisible, ainsi que l'agencement aléatoire des ouvertures.
Détail de l'élévation d'un des bâtiments de la place des Quatre-Vents. Le quadrillage que forment les panneaux de façade est bien lisible, ainsi que l'agencement aléatoire des ouvertures.
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Vue d'ensemble actuelle de la place des Quatre-Vents. Les façades ont été totalement transformées par l'isolation extérieure. Les fenêtres ont été changées.
Vue d'ensemble actuelle de la place des Quatre-Vents. Les façades ont été totalement transformées par l'isolation extérieure. Les fenêtres ont été changées.
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Vue actuelle de la place des Quatre-Vents. Détail du traitement du sol de briques remontant vers les bâtiments. Des marches dans les talus donnent accès aux immeubles.
Vue actuelle de la place des Quatre-Vents. Détail du traitement du sol de briques remontant vers les bâtiments. Des marches dans les talus donnent accès aux immeubles.
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Vue aérienne de la place du Bestiaire, aujourd'hui détruite, et de la place de l'Hippodrome, dont toute la moitié ouest est également détruite.
Vue aérienne de la place du Bestiaire, aujourd'hui détruite, et de la place de l'Hippodrome, dont toute la moitié ouest est également détruite.
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Vue de la place du Bestiaire depuis l'intérieur de la sculpture de Laurence Rieti, l'hippopotame.
Vue de la place du Bestiaire depuis l'intérieur de la sculpture de Laurence Rieti, l'hippopotame.
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Vue du passage entre la place du Bestiaire et au fond celle de l'Hippodrome.
Vue du passage entre la place du Bestiaire et au fond celle de l'Hippodrome.
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Vue d'ensemble de la place de l'Hippodrome.
Vue d'ensemble de la place de l'Hippodrome.
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Vue d'ensemble de la place de la Lance, aujourd'hui totalement détruite.
Vue d'ensemble de la place de la Lance, aujourd'hui totalement détruite.
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Vue d'un passage entre bâtiments conduisant au centre la place de la Lance.
Vue d'un passage entre bâtiments conduisant au centre la place de la Lance.
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Vue aérienne de la place de l'Eté-Vert, en haut de l'image la place de l'Ysé, en haut à droite, la place du Trident. On distingue les jardins privatifs associés à certains logements en rez-de-chaussée, ainsi que le traitement du sol (rubans de béton formant des degrés en suivant les courbes de niveau)
Vue aérienne de la place de l'Eté-Vert, en haut de l'image la place de l'Ysé, en haut à droite, la place du Trident. On distingue les jardins privatifs associés à certains logements en rez-de-chaussée, ainsi que le traitement du sol (rubans de béton formant des degrés en suivant les courbes de niveau)
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Vue partielle de la place de l'Eté-Vert. Aujourd'hui l'un des côtés de la place (celui situé dans le dos du photographe) est détruit.
Vue partielle de la place de l'Eté-Vert. Aujourd'hui l'un des côtés de la place (celui situé dans le dos du photographe) est détruit.
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Vue actuelle, sensiblement sous le même angle, de la place de l'Eté-Vert.
Vue actuelle, sensiblement sous le même angle, de la place de l'Eté-Vert.
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Autre vue actuelle de la place de l'Eté-Vert. Les degrés formant le sol n'ont pas été entretenus correctement.
Autre vue actuelle de la place de l'Eté-Vert. Les degrés formant le sol n'ont pas été entretenus correctement.
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Détail de l'aire de jeu de la place de l'Eté-Vert.
Détail de l'aire de jeu de la place de l'Eté-Vert.
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Vue d'ensemble de la place de l'Ysé, le bâtiment courbe à droite est détruit.
Vue d'ensemble de la place de l'Ysé, le bâtiment courbe à droite est détruit.
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Vue depuis le toit d'un bâtiment de la place de l'Ysé. A gauche de l'image, entrée vers la place du Trident, au fond bâtiment en arc de cercle de la place de la Lance (détruite), à droite bâtiment (détruit) fermant la place de l'Eté-Vert. La circulation nord-est/sud-ouest créée à l'occasion de l'actuelle rénovation passe à cet endroit.
Vue depuis le toit d'un bâtiment de la place de l'Ysé. A gauche de l'image, entrée vers la place du Trident, au fond bâtiment en arc de cercle de la place de la Lance (détruite), à droite bâtiment (détruit) fermant la place de l'Eté-Vert. La circulation nord-est/sud-ouest créée à l'occasion de l'actuelle rénovation passe à cet endroit.
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Vue aérienne. Au premier plan, la place du Pas ; en bas à doite la place des Pierreuses ; au second plan de gauche à droite : la place de la Coquille (avec les murs pignon des poètes), la place du Trident et l'école primaire R. Dorgelès. Au troisième plan, de gauche à droite, les places de la Lance et de l'Hippodrome, la place de l'Eté-Vert et la place de l'Ysé. Les trames au sol des places de la Coquille et du Pas sont bien visibles. Sur cette dernière, au devant de la sculpture du pied, la trace blanche laissée par le pas est également bien visible (aujourd'hui détruite).
Vue aérienne. Au premier plan, la place du Pas ; en bas à doite la place des Pierreuses ; au second plan de gauche à droite : la place de la Coquille (avec les murs pignon des poètes), la place du Trident et l'école primaire R. Dorgelès. Au troisième plan, de gauche à droite, les places de la Lance et de l'Hippodrome, la place de l'Eté-Vert et la place de l'Ysé. Les trames au sol des places de la Coquille et du Pas sont bien visibles. Sur cette dernière, au devant de la sculpture du pied, la trace blanche laissée par le pas est également bien visible (aujourd'hui détruite).
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Vue du revers de la place de la Coquille. On peut voir trois des six petits bâtiments plot (comprenant un mur pignon aveugle donnant sur la place et couvert chacun d'un portrait de poète français du XIXe siècle). A gauche, le bâtiment de Victor Hugo (aujourd'hui détruit) ; au centre le bâtiment de Baudelaire, à droite le bâtiment de Rimbaud. Au delà, on entre-aperçoit la place du Pas qui n'aurait pas du être visible si l'hôtel de ville prévu pour refermer la place de la Coquille avait été construit.
Vue du revers de la place de la Coquille. On peut voir trois des six petits bâtiments plot (comprenant un mur pignon aveugle donnant sur la place et couvert chacun d'un portrait de poète français du XIXe siècle). A gauche, le bâtiment de Victor Hugo (aujourd'hui détruit) ; au centre le bâtiment de Baudelaire, à droite le bâtiment de Rimbaud. Au delà, on entre-aperçoit la place du Pas qui n'aurait pas du être visible si l'hôtel de ville prévu pour refermer la place de la Coquille avait été construit.
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Vue actuelle de la place de la Coquille. A gauche correspondant au pignon du bâtiment ouest de la place du Trident, le portait de Gérard de Nerval ; à droite, le pignon du bâtiment est de la place du Trident, le portrait de Stéphane Mallarmé.
Vue actuelle de la place de la Coquille. A gauche correspondant au pignon du bâtiment ouest de la place du Trident, le portait de Gérard de Nerval ; à droite, le pignon du bâtiment est de la place du Trident, le portrait de Stéphane Mallarmé.
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Vue de la place du Pied, lors de la pose de la sculpture. On aperçoit, au second plan, Emile Aillaud.
Vue de la place du Pied, lors de la pose de la sculpture. On aperçoit, au second plan, Emile Aillaud.
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Vue de la partie basse de la place du Pied. Au sol, un tracé blanc constitue un effet de dallage. Une rampe conduit à la partie haute de la place (qui abrite en dessous des parkings). Le bâtiment plot au centre est aujourd'hui détruit.
Vue de la partie basse de la place du Pied. Au sol, un tracé blanc constitue un effet de dallage. Une rampe conduit à la partie haute de la place (qui abrite en dessous des parkings). Le bâtiment plot au centre est aujourd'hui détruit.
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Vue actuelle de la partie haute de la place du Pas. L'habillage des façades cherche à reconstituer l'ordonnancement de l'architecture française classique : soubassement, élévation rythmée verticalement et couronnement par un toit d'ardoise ' à la Mansart '.
Vue actuelle de la partie haute de la place du Pas. L'habillage des façades cherche à reconstituer l'ordonnancement de l'architecture française classique : soubassement, élévation rythmée verticalement et couronnement par un toit d'ardoise ' à la Mansart '.
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Détail de la partie haute de la place du Pas. La trame au sol formant le motif de dallage a presque disparu. Le seul décor sur la place, à l'exception du pied, est le pin, au premier plan, choisi par Aillaud pour son tronc tordu. Il sort d'un disque creux de marbre blanc.
Détail de la partie haute de la place du Pas. La trame au sol formant le motif de dallage a presque disparu. Le seul décor sur la place, à l'exception du pied, est le pin, au premier plan, choisi par Aillaud pour son tronc tordu. Il sort d'un disque creux de marbre blanc.
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Détail du motif décoratif en forme de feuille des ouvertures dans le mur des parkings entre la partie basse de la place du Pas et sa partie haute.
Détail du motif décoratif en forme de feuille des ouvertures dans le mur des parkings entre la partie basse de la place du Pas et sa partie haute.
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Vue aérienne de la place du Béguinage. Le dessin sophistiqué du sol est bien lisible. Le bâtiment tour au centre de la place est aujourd'hui détruit. En haut et à gauche de l'image, la maison de retraite en construction.
Vue aérienne de la place du Béguinage. Le dessin sophistiqué du sol est bien lisible. Le bâtiment tour au centre de la place est aujourd'hui détruit. En haut et à gauche de l'image, la maison de retraite en construction.
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Vue de l'entrée dans la place du Béguinage. A gauche des jardins privatifs associés aux logements en rez-de-chaussée.
Vue de l'entrée dans la place du Béguinage. A gauche des jardins privatifs associés aux logements en rez-de-chaussée.
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Vue opposée (côté est) de l'entrée dans la place du Béguinage. A droite des jardins privatifs associés aux logements en rez-de-chaussée.
Vue opposée (côté est) de l'entrée dans la place du Béguinage. A droite des jardins privatifs associés aux logements en rez-de-chaussée.
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Détail du traitement du sol fait de dalles de ciment et de briques formant un motif géométrique cynétique composé par Ewa Brukalska.
Détail du traitement du sol fait de dalles de ciment et de briques formant un motif géométrique cynétique composé par Ewa Brukalska.
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Détail d'un étroit passage entre deux bâtiments tours au centre de la place du Béguinage. L'un des deux bâtiments est aujourd'hui détruit.
Détail d'un étroit passage entre deux bâtiments tours au centre de la place du Béguinage. L'un des deux bâtiments est aujourd'hui détruit.
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Vue aérienne. En haut à gauche les deux bâtiments parallèles conduisant de la place du Béguinage à la place des Arcades. En bas à gauche, les places de l'Echauguette et Tranquille. En haut à droite, la cour Verte. Deux bâtiments barre, bleu clair, présentent un sytème de galeries à clair-voie, espaces de circulation qui compensaient la déclivité du terrain. Ces galeries sont aujourd'hui murées.
Vue aérienne. En haut à gauche les deux bâtiments parallèles conduisant de la place du Béguinage à la place des Arcades. En bas à gauche, les places de l'Echauguette et Tranquille. En haut à droite, la cour Verte. Deux bâtiments barre, bleu clair, présentent un sytème de galeries à clair-voie, espaces de circulation qui compensaient la déclivité du terrain. Ces galeries sont aujourd'hui murées.
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Vue vers le nord de la cour Verte. Les bâtiments jaune et vert au centre de l'image sont détruits.
Vue vers le nord de la cour Verte. Les bâtiments jaune et vert au centre de l'image sont détruits.
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Vue de la cour Verte. Au premier plan, l'espace de jeu (aujourd'hui détruit) : une étendue de sable et un élément en béton peint se déployant comme un ruban et formant des espaces où se cacher.
Vue de la cour Verte. Au premier plan, l'espace de jeu (aujourd'hui détruit) : une étendue de sable et un élément en béton peint se déployant comme un ruban et formant des espaces où se cacher.
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Vue du passage entre la place des Arcades et la cour Verte.
Vue du passage entre la place des Arcades et la cour Verte.
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Vue de la partie est de la place des Arcades. Sur le bord gauche de l'image, le bâtiment coupé est aujourd'hui détruit, comme l'extrémité du bâtiment au centre de l'image au niveau de l'angle nord-est de la place. La circulation est-ouest créée par la dernière rénovation traversera à ce niveau cette place.
Vue de la partie est de la place des Arcades. Sur le bord gauche de l'image, le bâtiment coupé est aujourd'hui détruit, comme l'extrémité du bâtiment au centre de l'image au niveau de l'angle nord-est de la place. La circulation est-ouest créée par la dernière rénovation traversera à ce niveau cette place.
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Vue de la place des Arcades. A l'extrême droite, le bâtiment plot qui comprenait un mur pignon orné d'un motif d'arcades est aujourd'hui détruit.
Vue de la place des Arcades. A l'extrême droite, le bâtiment plot qui comprenait un mur pignon orné d'un motif d'arcades est aujourd'hui détruit.
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Détail actuel d'un mur pignon de la place des Arcades orné d'un décor de fontaine stylisée.
Détail actuel d'un mur pignon de la place des Arcades orné d'un décor de fontaine stylisée.
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Détail actuel d'un mur pignon au niveau du passage entre la place des Arcades et celle de l'Echauguette orné d'un décor reproduisant un fragment de la Création de l'Homme de Michel-Ange, redessiné par Ewa Lukasiewicz.
Détail actuel d'un mur pignon au niveau du passage entre la place des Arcades et celle de l'Echauguette orné d'un décor reproduisant un fragment de la Création de l'Homme de Michel-Ange, redessiné par Ewa Lukasiewicz.
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Détail actuel d'un mur pignon de la place des Arcades comportant un bas relief fait de 69 pièces représentant des visages. Oeuvre intitulée ' mur des sourires ' ' réalisé par des enfants et des adultes à Chantecolor avec Daniel. 2004/2005 '.
Détail actuel d'un mur pignon de la place des Arcades comportant un bas relief fait de 69 pièces représentant des visages. Oeuvre intitulée ' mur des sourires ' ' réalisé par des enfants et des adultes à Chantecolor avec Daniel. 2004/2005 '.
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Vue actuelle d'ensemble de la place de l'Echauguette. Au centre, l'aire de jeu à l'origine emplie de sable. A gauche ' une colline en béton sert à imaginer un sol lunaire, un autre monde, un voyage ' et au centre l'échauguette qui 'était dans les châteaux-forts une partie avancée des murailles d'où l'on guettait l'ennemi ' selon la description d'Aillaud.
Vue actuelle d'ensemble de la place de l'Echauguette. Au centre, l'aire de jeu à l'origine emplie de sable. A gauche ' une colline en béton sert à imaginer un sol lunaire, un autre monde, un voyage ' et au centre l'échauguette qui 'était dans les châteaux-forts une partie avancée des murailles d'où l'on guettait l'ennemi ' selon la description d'Aillaud.
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Vue de la place de l'Echauguette depuis le sud vers le nord.
Vue de la place de l'Echauguette depuis le sud vers le nord.
© Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturel ; © Ministère de la culture
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Vue actuelle d'un angle de la place de l'Echauguette. Les murs pignons sont recouverts d'un motif rappelant les feuilles tremblantes des arbres, selon la description d'Aillaud. Cet espace accueillait à l'origine des bancs.
Vue actuelle d'un angle de la place de l'Echauguette. Les murs pignons sont recouverts d'un motif rappelant les feuilles tremblantes des arbres, selon la description d'Aillaud. Cet espace accueillait à l'origine des bancs.
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Vue d'ensemble de la place Tranquille.
Vue d'ensemble de la place Tranquille.
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Vue d'une partie de l'Ellipse.
Vue d'une partie de l'Ellipse.
© Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturel ; © Ministère de la culture
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Vue d'une autre partie du bâtiment serpentin de l'Ellipse.
Vue d'une autre partie du bâtiment serpentin de l'Ellipse.
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Vue d'une partie du bâtiment serpentin de l'Ellipse. Au premier plan, l'aire de jeu recouverte de sable.
Vue d'une partie du bâtiment serpentin de l'Ellipse. Au premier plan, l'aire de jeu recouverte de sable.
© Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturel ; © Ministère de la culture
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Vue d'un accès au bâtiment serpentin de l'Ellipse. Les espaces verts comprennent ici des peupliers d'Italie et des saules.
Vue d'un accès au bâtiment serpentin de l'Ellipse. Les espaces verts comprennent ici des peupliers d'Italie et des saules.
© Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturel ; © Ministère de la culture
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Vue de l'espace compris entre l'Ellipse et le dos de la place du Pas.
Vue de l'espace compris entre l'Ellipse et le dos de la place du Pas.
© Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturel ; © Ministère de la culture
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Vue actuelle du bâtiment serpentin de l'Ellipse.
Vue actuelle du bâtiment serpentin de l'Ellipse.
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Autre vue actuelle du bâtiment serpentin de l'Ellipse. Au premier plan, une aire de jeu : étang de sable bordé de gradins comme un théâtre.
Autre vue actuelle du bâtiment serpentin de l'Ellipse. Au premier plan, une aire de jeu : étang de sable bordé de gradins comme un théâtre.
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Autre vue actuelle du bâtiment serpentin de l'Ellipse.
Autre vue actuelle du bâtiment serpentin de l'Ellipse.
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Détail d'une plaque de numéro de rue en céramique vernissée indiquant le 30 du bâtiment de l'Ellipse.
Détail d'une plaque de numéro de rue en céramique vernissée indiquant le 30 du bâtiment de l'Ellipse.
© Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturel
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Détail d'un escalier en vis en métal et dont les marches sont constituées d'une plaque de granito, desservant les étages (dans un des bâtiments de la place de l'Echauguette).
Détail d'un escalier en vis en métal et dont les marches sont constituées d'une plaque de granito, desservant les étages (dans un des bâtiments de la place de l'Echauguette).
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Vue en contre plongée de l'escalier montrant comment, circulaire, il s'insère dans la cage d'escalier de plan rectangulaire.
Vue en contre plongée de l'escalier montrant comment, circulaire, il s'insère dans la cage d'escalier de plan rectangulaire.
© Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturel
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Détail d'une ouverture en forme de feuille dans les panneaux de façade de certains rez-de-chaussée. Ces ouvertures permettent l'aération de locaux communs.
Détail d'une ouverture en forme de feuille dans les panneaux de façade de certains rez-de-chaussée. Ces ouvertures permettent l'aération de locaux communs.
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plan d'ensemble
plan d'ensemble
© Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturel ; © Conseil général des Hauts-de-Seine
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Croquis de différents bâtiments, un serpentin, la place de l'Hippodrome et une aire de jeux.
Croquis de différents bâtiments, un serpentin, la place de l'Hippodrome et une aire de jeux.
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Esquisse axonométrie du second projet du quartier où les cours alternent avec des ensembles de maisons patio.
Esquisse axonométrie du second projet du quartier où les cours alternent avec des ensembles de maisons patio.
© Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturel
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Maquette du projet, adopté (avec un avis très favorable) en 1969 par le Conseil d'architecture et d'urbanisme du ministère de l'Equipement et du Logement. Sur 75 hectares, 4000 logements sont répartis, une nouvelle gare est créée à Chanteloup.
Maquette du projet, adopté (avec un avis très favorable) en 1969 par le Conseil d'architecture et d'urbanisme du ministère de l'Equipement et du Logement. Sur 75 hectares, 4000 logements sont répartis, une nouvelle gare est créée à Chanteloup.
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Maquette du projet se développant sur les trois communes, adopté (avec un avis très favorable) en 1969 par le Conseil d'architecture et d'urbanisme du ministère de l'Equipement et du Logement. Aillaud, Emile. Chanteloup-les-Vignes : quartier la Noé, architecte, Emile Aillaud. Paris : Fayard, 1978. p. 38-39.
Maquette du projet se développant sur les trois communes, adopté (avec un avis très favorable) en 1969 par le Conseil d'architecture et d'urbanisme du ministère de l'Equipement et du Logement. Aillaud, Emile. Chanteloup-les-Vignes : quartier la Noé, architecte, Emile Aillaud. Paris : Fayard, 1978. p. 38-39.
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Plan de la partie ouest (depuis Triel jusqu'à la route de Poissy à Chanteloup) du projet, adopté en 1969 par le Conseil d'architecture et d'urbanisme du ministère de l'Equipement et du Logement. La zone sur Triel, ne comprend plus que des maisons patio.
Plan de la partie ouest (depuis Triel jusqu'à la route de Poissy à Chanteloup) du projet, adopté en 1969 par le Conseil d'architecture et d'urbanisme du ministère de l'Equipement et du Logement. La zone sur Triel, ne comprend plus que des maisons patio.
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Plan des constructions qui ont finalement été réalisées, entièrement recentrées sur la commune de Chanteloup. Les noms des places créées sont indiqués.
Plan des constructions qui ont finalement été réalisées, entièrement recentrées sur la commune de Chanteloup. Les noms des places créées sont indiqués.
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Plan de la Promenade dans la ville proposée par Aillaud pour découvrir le quartier qui indique les bâtiments finalement réalisés et le nom des places qu'ils composent. Les images qui suivent détaillent les places et les bâtiments successifs en suivant ce plan.
Plan de la Promenade dans la ville proposée par Aillaud pour découvrir le quartier qui indique les bâtiments finalement réalisés et le nom des places qu'ils composent. Les images qui suivent détaillent les places et les bâtiments successifs en suivant ce plan.
© Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturel
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Essais de compositions des élévations en rythmes larges et complexes sur la base des cinq types différents de fenêtres (fenêtre carrée 1,30 x 1,30 ; fenêtre avec porte-fenêtre étroite 0,60 x 1,30 et 0,60 x 2,00 ; fenêtre avec porte-fenêtre large 1,30 x 1,30 et 0,80 x 2,00 ; porte-fenêtre large 0,80 x 2,00 et grande baie carrée avec porte-fenêtre 2,10 x 2,10). Aillaud cherche à éviter la monotonie de l'ordonnance répétitive du grand ensemble habituel.
Essais de compositions des élévations en rythmes larges et complexes sur la base des cinq types différents de fenêtres (fenêtre carrée 1,30 x 1,30 ; fenêtre avec porte-fenêtre étroite 0,60 x 1,30 et 0,60 x 2,00 ; fenêtre avec porte-fenêtre large 1,30 x 1,30 et 0,80 x 2,00 ; porte-fenêtre large 0,80 x 2,00 et grande baie carrée avec porte-fenêtre 2,10 x 2,10). Aillaud cherche à éviter la monotonie de l'ordonnance répétitive du grand ensemble habituel.
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Plans du RDC et d'un étage type d'une trame (2 appartements traversant) de bâtiment courbe haut. L'ensemble est desservi par un escalier et deux ascenseurs.
Plans du RDC et d'un étage type d'une trame (2 appartements traversant) de bâtiment courbe haut. L'ensemble est desservi par un escalier et deux ascenseurs.
© Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturel
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Plans du RDC et d'un étage type d'une trame (2 appartements traversant) de bâtiment courbe bas.
Plans du RDC et d'un étage type d'une trame (2 appartements traversant) de bâtiment courbe bas.
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Plans du RDC et d'un étage type d'une trame (2 appartements traversant) de bâtiment droit.
Plans du RDC et d'un étage type d'une trame (2 appartements traversant) de bâtiment droit.
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Vue du chantier prise le 17 avril 1973. Au premier plan, une grue posée sur des rails.
Vue du chantier prise le 17 avril 1973. Au premier plan, une grue posée sur des rails.
© Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturel ; © Ville de Chanteloup-les-Vignes
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Vue du chantier prise le 17 avril 1973, détail de la mise en place d'une élément de façade préfabriqué (les panneaux comprennent les huisseries et le revêtement de céramique, placé en fond de moule au moment du coulage du béton).
Vue du chantier prise le 17 avril 1973, détail de la mise en place d'une élément de façade préfabriqué (les panneaux comprennent les huisseries et le revêtement de céramique, placé en fond de moule au moment du coulage du béton).
© Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturel ; © Ville de Chanteloup-les-Vignes
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Vue du chantier prise le 17 avril 1973, au niveau de la future place de l'Hippodrome.
Vue du chantier prise le 17 avril 1973, au niveau de la future place de l'Hippodrome.
© Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturel ; © Ville de Chanteloup-les-Vignes
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Vue du chantier prise le 17 avril 1973, au niveau de la future place du Bestiaire. Mise en place des pavés de l'enclos destiné à accueillir sur une étendue de sable, le serpent.
Vue du chantier prise le 17 avril 1973, au niveau de la future place du Bestiaire. Mise en place des pavés de l'enclos destiné à accueillir sur une étendue de sable, le serpent.
© Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturel ; © Ville de Chanteloup-les-Vignes
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Vue du chantier prise le 17 avril 1973, depuis la première enceinte de la place du Bestiaire, vers la seconde, accueillant l'hippopotame en cours de construction.
Vue du chantier prise le 17 avril 1973, depuis la première enceinte de la place du Bestiaire, vers la seconde, accueillant l'hippopotame en cours de construction.
© Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturel ; © Ville de Chanteloup-les-Vignes
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Vue du chantier prise le 17 avril 1973, de la seconde enceinte de la place du Bestiaire. Au premier plan, l'hippopotame conçu par Laurence Rieti, vu de face et son enclos en cours de construction.
Vue du chantier prise le 17 avril 1973, de la seconde enceinte de la place du Bestiaire. Au premier plan, l'hippopotame conçu par Laurence Rieti, vu de face et son enclos en cours de construction.
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Vue du chantier prise le 17 avril 1973, de la seconde enceinte de la place du Bestiaire. Au premier plan, l'hippopotame vu de dos et son enclos en cours de construction.
Vue du chantier prise le 17 avril 1973, de la seconde enceinte de la place du Bestiaire. Au premier plan, l'hippopotame vu de dos et son enclos en cours de construction.
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Vue du chantier prise le 17 avril 1973, de la place du Bestiaire. Au premier plan, l'hippopotame vu de face dont seule la partie supérieure de la gueule est façonnée, encore supportée par une armature de bastings. Le ferraillage de la partie inférieure de la gueule est en place.
Vue du chantier prise le 17 avril 1973, de la place du Bestiaire. Au premier plan, l'hippopotame vu de face dont seule la partie supérieure de la gueule est façonnée, encore supportée par une armature de bastings. Le ferraillage de la partie inférieure de la gueule est en place.
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Vue du chantier prise le 17 avril 1973, de la place de l'Hippodrome. Le revêtement de sol de la place n'est pas encore posé, les arbres des deux rond-points sont en cours de plantation.
Vue du chantier prise le 17 avril 1973, de la place de l'Hippodrome. Le revêtement de sol de la place n'est pas encore posé, les arbres des deux rond-points sont en cours de plantation.
© Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturel ; © Ville de Chanteloup-les-Vignes
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Vue prise en 1976. La cité est habitée. Détail de l'espace baptisé les Peupliers (un triangle placé derrière la place de la Coquille), planté de trois rangées de peupliers suisses sur trois minces niveaux refermant un enclos isocèle destiné au jeux de boules.
Vue prise en 1976. La cité est habitée. Détail de l'espace baptisé les Peupliers (un triangle placé derrière la place de la Coquille), planté de trois rangées de peupliers suisses sur trois minces niveaux refermant un enclos isocèle destiné au jeux de boules.
© Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturel ; © Atelier départemental d'urbanisme des Yvelines
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Vue prise en 1976. Passage entre la place du Béguinage et la place des Arcades. De part et d'autres les RDC accueillent des locaux commeciaux encore en chantier.
Vue prise en 1976. Passage entre la place du Béguinage et la place des Arcades. De part et d'autres les RDC accueillent des locaux commeciaux encore en chantier.
© Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturel ; © Ville de Chanteloup-les-Vignes
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Vue prise en 1976. La place du Trident et son échelonnement de marches conduisant à un rond-point d'arbres rythmé de bancs publics, au second plan on aperçoit un bâtiment du groupe scolaire Dorgelès.
Vue prise en 1976. La place du Trident et son échelonnement de marches conduisant à un rond-point d'arbres rythmé de bancs publics, au second plan on aperçoit un bâtiment du groupe scolaire Dorgelès.
© Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturel ; © Atelier départemental d'urbanisme des Yvelines
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Vue prise en 1976. La place du Pas, depuis le haut d'un immeuble. Au centre, la sculpture conçue par Laurence Rieti d'un pied de près de 8 m, fabriqué en béton époxy moulé.
Vue prise en 1976. La place du Pas, depuis le haut d'un immeuble. Au centre, la sculpture conçue par Laurence Rieti d'un pied de près de 8 m, fabriqué en béton époxy moulé.
© Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturel ; © Ville de Chanteloup-les-Vignes
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La place du Pas, détail de la sculpture du pied, vu de face.
La place du Pas, détail de la sculpture du pied, vu de face.
© Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturel ; © Ville de Chanteloup-les-Vignes
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Vue aérienne de la partie est du quartier. A l'arrière plan, le village de Chanteloup. Le foyer de travailleurs célibataires est détruit. Seuls les deux bâtiments reliant la place du Béguinage à celle des Arcades ont été rénovés.
Vue aérienne de la partie est du quartier. A l'arrière plan, le village de Chanteloup. Le foyer de travailleurs célibataires est détruit. Seuls les deux bâtiments reliant la place du Béguinage à celle des Arcades ont été rénovés.
© Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturel ; © Air Promotion
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Vue aérienne de la partie ouest du quartier jusqu'à la route de Poissy. Une grande partie des bâtiments a déjà été réhabilitée (à l'exception de la place de l'Hippodrome, de celle du Bestiaire et de l'Ellipse). L'isolation par l'extérieur a caché les compositions colorées voulues par Aillaud. On aperçoit des frontons triangulaires couronnant certaines travées de bâtiments. La passerelle piétonne permettant de franchir la route de Poissy est encore en place.
Vue aérienne de la partie ouest du quartier jusqu'à la route de Poissy. Une grande partie des bâtiments a déjà été réhabilitée (à l'exception de la place de l'Hippodrome, de celle du Bestiaire et de l'Ellipse). L'isolation par l'extérieur a caché les compositions colorées voulues par Aillaud. On aperçoit des frontons triangulaires couronnant certaines travées de bâtiments. La passerelle piétonne permettant de franchir la route de Poissy est encore en place.
© Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturel ; © Air Promotion
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Plan d'ensemble du projet pour la partie est de la route de Poissy jusqu'à Andrésy, adopté en 1969 par le Conseil d'architecture et d'urbanisme du ministère de l'Equipement et du Logement.
Plan d'ensemble du projet pour la partie est de la route de Poissy jusqu'à Andrésy, adopté en 1969 par le Conseil d'architecture et d'urbanisme du ministère de l'Equipement et du Logement.
© Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturel
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Couverture du n° 3 de juillet/août 1975 du Chant du Loup, journal du comité de sauvegarde de Chanteloup et environs, comportant une caricature d'Aillaud, représenté avec un de ses immeubles sous le bras, se débattant avec un loup.
Couverture du n° 3 de juillet/août 1975 du Chant du Loup, journal du comité de sauvegarde de Chanteloup et environs, comportant une caricature d'Aillaud, représenté avec un de ses immeubles sous le bras, se débattant avec un loup.
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À propos de la notice

Référence de la notice

IA78001159

Nom de la base

Patrimoine architectural (Mérimée)

Date de versement de la notice

2009-09-01

Date de la dernière modification de la notice

2020-02-13

Auteurs de la notice

Duhau Isabelle

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Lien vers le dossier PDF

PDF Inventaire (dossier verts)

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