Cité ouvrière
Cité des Electriciens (ancien coron de la fosse n° 2 dite du Mont-Blanc) , située en bordure de la rue Anatole-France et constitué de la totalité des rues Ampère, Branly, Coulomb, Edison, Faraday, Franklin, Gramme, Laplace, Marconi, Volta
Hauts-de-France ; Pas-de-Calais (62) ; Bruay-la-Buissière ; rue Anatole-France ; rue Ampère ; rue Branly ; rue Coulomb ; rue Edison ; rue Faraday ; rue Franklin ; rue Gramme ; rue Laplace ; rue Marconi ; rue Volta
Anciennement région de : Nord-Pas-de-Calais
Anatole-France (rue) ; Ampère (rue) ; Branly (rue) ; Coulomb (rue) ; Edison (rue) ; Faraday (rue) ; Franklin (rue) ; Gramme (rue) ; Laplace (rue) ; Marconi (rue) ; Volta (rue)
AD 361 à 417, 420 à 435, 466
3e quart 19e siècle
1856
La Cité n°2, dite des Electriciens, tire son origine de la volonté de la Compagnie des Mines de Bruay de loger et retenir les ouvriers qu'elle débauchait des autres compagnies pour ses fosses n°1 et 2. L'ensemble fut achevé en 1861. Construite de 1856 à 1861, la Cité des Electriciens est donc la plus ancienne cité minière subsistant dans la partie ouest du bassin minier. Les installations ont peu changé depuis leur construction, seuls ont été ajoutés des réseaux d'eau potable et d'électricité. Après avoir porté le numéro de la fosse la plus proche, la n°2, la cité prit pour l'appellation de ses rues les noms des grands savants ayant joué un rôle dans la découverte des principes de l'électricité et de son développement. En 1910, la cité comptait 43 logements et fut complétée par 20 abris pour ménages réfugiés dont il ne reste aucune trace.
Inscrit MH partiellement
2009/11/25 : inscrit MH
Les façades et toitures de l'ensemble de la cité (cad. AD 361 à 417, 420 à 435, 466) : inscription par arrêté du 25 novembre 2009
Arrêté
Propriété d'une société privée
Propriété de SAS Maisons & Cités SOGINORPA
© Monuments historiques. Cette notice reprend intégralement les termes de l’arrêté de protection au titre des Monuments historiques. Elle répond à l’obligation réglementaire du ministère de la Culture d’établir la liste générale des édifices protégés (art. R. 621-80 du Code du patrimoine). Elle est donc opposable et fait foi juridiquement. Aucune copie numérique ou papier ne sera fournie par courrier ni courriel. Le dossier de protection complet et l’arrêté sont consultables uniquement sur place, dans la salle de lecture de la Médiathèque du patrimoine et de la photographie (MPP), à Charenton-le-Pont (Val-de-Marne).
2009
Dossier de protection