musée Fabre
39 boulevard bonne-nouvelle
34000
Montpellier
Hérault
Occitanie
04 67 14 83 00
musee.fabre@montpellier-agglo.com
Musée de France, au sens du Code du patrimoine
Archéologie, Arts décoratifs, Beaux-Arts
Le musée, formé par les saisies révolutionnaires, existe à l'état embryonnaire dès 1798 ; il bénéficie d'envois de l'Etat (notamment de morceaux de réception à l'Académie). Devenu municipal en 1809 et ouvert au public, il est l'objet de plusieurs transferts : au Collège des Jésuites, à l'Hôtel de Crozals (plus tard Hôtel de Saint-André), puis à la Mairie (Hôtel de Bellaval). Totalement transformé en 1826, à la suite de l'importante donation faite à sa ville natale par le peintre François-Xavier Fabre (1766-1837) des collections qu'il avait formées pendant son séjour en Italie. le musée s'enrichit ensuite de magnifiques collections Valedeau (1836), Bruyas (1867), Bazille.
Riches collections de peintures de toutes les écoles : œuvres italiennes des XVIeet des XVIIe siècles, beaux tableaux espagnols et flamands, l'école hollandaise est représentée par ses meilleurs maîtres, mais la place prépondérante est occupée par la peinture française du XVIIIe siècle et du début du XIXe siècle . Collection de dessins italiens et français du XVIIe au XIXe siècle. Sculptures bronzes, céramique italienne et française.
Antiquités étrangères : Grecques et romaines, Art moderne et contemporain (Ecole de Paris 1950 - 1960, mouvement Support-Surface), Arts décoratifs : Céramique, Beaux-Arts : Dessin, Peinture, Sculpture
Véronèse, Zurbaran, Ribera, Rubens, Steen, Ruysdaël Terburg, Metsu, Wouwerman, Cuyp, Aved, Vien, Vernet, Vincent, David, Ingres, Géricault, Delacroix, Tassaert, Corot, Bazille, Raphaël, Poussin, Fragonard, Delacroix, Millet, Houdon.
La Ville fait l'acquisition de l'Hôtel de Massilian (XVe au XVIIIe siècles) ; aménagé et agrandi par les architectes Favis et Boué, il est inauguré le 3 décembre 1828. L'agrandissement récent du musée a permis de porter la surface à.9 200 m², ainsi plus de 800 œuvres peuvent être simultanément montrées, soit 300 de plus qu'avant. Dès l'entrée, les architectes ont favorisé le passage de la ville au musée : l'accueil dans les collections permanentes et temporaires se fait de plain-pied par la cour Soulages en venant de l'Esplanade, grâce à l'excavation et à l'aménagement des cours Bazille et Bourdon.
Site patrimonial remarquable. Secteur sauvegardé.