Bas-relief
Médaillon
Médaillon : Robert Fossorier
Normandie ; Calvados (14) ; Deauville ; 65 rue Victor Hugo ; 20 rue Robert Fossorier ; Mairie
14220
Anciennement région de : Basse-Normandie
Deauville
Trouville-sur-Mer
Victor Hugo (rue) 65 ; Robert Fossorier (rue) 20
Mairie
IA14003078
Hall d'entrée
Sculpture
Intérieur creux
Bronze : fondu ; patine ; marbre
Médaillon enchâssé dans une plaque de marbre.
Portrait (homme politique, tête, de trois-quarts)
Médaillon représentant Robert Fossorier, de trois-quart gauche. Le portrait s'inscrit dans ce qui semble être l'écharpe municipale tricolore avec ses glands, symbole de la longévité de Fossorier à la tête de la municipalité de Deauville. La patine très foncée du bronze en altère la lisibilité.
Médaillon : d = 55 ; plaque de marbre : h = 106, la = 65 , pr = 2
Signature (gravée, sur l'oeuvre) ; date ; inscription donnant l'identité du modèle
Signature du sculpteur : DON/1968 ; signature du fondeur : E. GODARD Fondr Paris
Fossorier Robert (habitant célèbre)
Lieu d'exécution : Ile-de-France, 78, Behoust ; 92, Malakoff
3e quart 20e siècle
1968
En juillet 1963, une rue Fossorier est dévoilée à Deauville. Mais, à l'été 1967, l'illustrateur et caricaturiste d'origine roumaine Jean Don, qui avait exécuté le buste de François André, offre de réaliser pour la mairie un médaillon de Robert Fossorier, maire de la commune de 1935 à sa mort en 1962. Il souhaite ainsi compléter l'hommage déjà rendu aux prédécesseurs de Fossorier, Désiré Le Hoc et Eugène Colas. Il reçoit l'appui de la municipalité, conduite par Michel d'Ornano, et de la veuve de Robert Fossorier qui lui transmet des photographies de son époux. Terminé en 1968, le modèle en plâtre est remis au fondeur Emile Godard. L'effigie est inaugurée le 10 août 1969, en présence de nombreuses personnalités telles que le ministre des affaires étrangères Maurice Schumann ou l'académicien Jacques Rueff. Jean Don ayant offert son travail, le médaillon n'a coûté que les 2300 francs de la fonte, auxquels se sont ajoutés les 660 francs de fourniture de la plaque de marbre gravée par M. Rougereau, de Pont-l'Evêque. Sans conditionner le règlement de la fonte, la municipalité émet, dans une délibération du 28 septembre 1969, une réserve officielle sur la qualité de la patine, jugée trop foncée. Elle obtient du fondeur qu'il la rectifie.
Propriété de la commune
Dossier individuel
1998
2008
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