Instrument de mesure des charges électrostatiques
Électromètre à quadrants de Mascart
Instrument de mesure des charges électrostatiques : électromètre à quadrants de Mascart
Bourgogne-Franche-Comté ; Côte-d'Or (21) ; Dijon ; 16 boulevard Thiers ; lycée Carnot (non étudié)
21231
Anciennement région de : Bourgogne-Franche-Comté
Dijon
Thiers (boulevard) 16
Lycée Carnot (non étudié)
En ville
Électrostatique
Instrument didactique
Métal ; verre ; cuivre
Les quadrants, l'aiguille et le vase de verre sont dans un cylindre métallique qui les protégent des courants d'air et les met à l'abri de toute influence électrique extérieure. Ce cylindre est fermé, à la partie supérieure, par une plaque mobile de cuivre qui porte les principaux organes de l'appareil et qui est maintenue en place par deux boutons à vis. Il est fondé sur le même principe que l'électromètre de W. Thomson mais, d'une construction plus simple.
H = 37 ; la = 20
Numéro d'inventaire (imprimé, sur étiquette)
Numéro d'inventaire sur étiquette attachée à l'appareil : 20
Ile-de-France, 75, Paris
4e quart 19e siècle
Cet instrument, qui sert à l'étude de l'électricité atmosphérique, a été inventé en 1880 par le physicien français Eleuthère-Elie-Nicolas Mascart (1837-1908) et fabriqué, à la fin du 19e siècle, par l'ingénieur-constructeur Jules Carpentier (1851-1921) dans les ateliers Ruhmkorff. Heinrich-Daniel Ruhmkorff (1803-1877), mécanicien et électricien allemand, vint à Paris travailler chez les fabricants d'appareils scientifiques, puis il fonda sa propre maison en 1839.
Propriété publique
Dossier individuel
2000
2001
Conseil régional de Bourgogne - Service Patrimoine et Inventaire 17, bd de la Trémouille BP 23502 - 21035 Dijon cedex - 03.80.44.40.55