Horloge d'édifice
Horloge d'édifice
Auvergne-Rhône-Alpes ; Loire (42) ; Montbrison ; rue Notre-Dame ; Collégiale Notre-Dame-d'Espérance
42147
Anciennement région de : Rhône-Alpes
Montbrison
Notre-Dame (rue)
Collégiale Notre-Dame-d'Espérance
IA42000988
Clocher nord
Horlogerie
Fer ; laiton ; bois
Horloge d'édifice à rouages horizontaux. Bâti en bois (décor sculpté). Engrenages en fer.
Dimensions non prises
Oeuvre menacée
L'horloge n'est plus du tout entretenue. Elle est totalement oxydée et couverte de fiente de pigeons.
1er quart 19e siècle
Des trois horloges publiques de Montbrison (collégiale, palais de Justice, halle aux grains), celle de la collégiale semble la plus importante : les délibérations du conseil municipal signalent que les exercices de la caserne sont réglés sur ses sonneries et que les voyageurs qui prennent le train se fient à son exactitude. L'horloge de la collégiale est mentionnée dès le 16e siècle. En 1858-1859, l'horloge de la collégiale est remplacée par une horloges à balancier (1720 F). 15 ans plus tard, elle a besoin d'un nettoyage complet ; en 1872, après un ajournement des réparations, les horlogers consultés déclarent qu'il faut la remplacer (elle retarde). En 1874, l'horloger Morel installe une nouvelle horloge qui sonne les quarts en plus de la répétition. Le mécanisme, plus gros, nécessite l'agrandissement du petit local qu'il occupe dans le clocher et le renforcement des voûtes (en particulier pour les les risques de chute des poids, le plus lourd pesant 400 kg). Les heures sont sonnées sur la grosse cloche, ou sur la 2e cloche quand la grosse est levée. Il n'y avait qu'un seul cadran.
Propriété de la commune
Dossier individuel
2004
2009
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