Tableau
Tableau : La Conversion de saint Paul
Nouvelle-Aquitaine ; Lot-et-Garonne (47) ; Gaujac ; église paroissiale Saint-Paul
47108
Meilhan-sur-Garonne
Église paroissiale Saint-Paul
IA00062300
En village
Nef, mur nord
Peinture
Rectangulaire horizontal
Bois (en plusieurs éléments) : peinture à l'huile
Panneau formé de 4 planches horizontales.
Saint Paul de Tarse : cavalier, soldat, romain, Christ : ange, nuée, chartreux : agenouillé, fond de paysage : ville (Damas)
Au centre d'un cortège de cavaliers et de fantassins romains, saint Paul, sur le point de tomber de cheval, est soutenu par deux fantassins, alors qu'il entend la voix du Christ représenté assis sur des nuées. A l'angle droit du tableau, un chartreux agenouillé de profil ; l'arrière-plan représente la ville de Damas, dont certains édifices sont en ruine.
H =117 ; la = 165
Oeuvre restaurée
Inscription (peinte)
Inscriptions sur des phylactères sortant de la bouche des 3 principaux protagonistes : Saule Saule quid me persequeris (Christ), Domine quid me vis facere (saint Paul), o bonitas (chartreux).
Ile-de-France, 75, Paris
Dépôt du musée du Louvre
2e moitié 16e siècle
Oeuvre attribuée par Sylvie Béguin à l'entourage de Jean Cousin le père (vers 1490-vers 1560) ou le fils (vers 1522-vers 1594), le tableau a figuré à l'exposition l'Ecole de Fontainebleau (Paris, Grand Palais, 1972-1973). Le dépôt de ce tableau à l'église de Gaujac, le 11 juillet 1820, s'explique par le fait que le comte de Marcellus (1795-1861), de la famille des anciens seigneurs de Gaujac, avait épousé Marie-Thérèse-Céline de Forbin, fille du comte de Forbin, directeur des musées royaux depuis 1816. Un seul tableau, peut-être celui-ci, est mentionné dans l'inventaire de 1905 ; il est estimé 300 francs.
Propriété de l'Etat
1910/06/01 : classé au titre objet
Dit 'd'après le Primatice'
À signaler
Dossier individuel
Cadre
1987
2002
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