2 pupitres, 6 stalles, 17 fausses-stalles de célébrant et lambris de demi-revêtement (décor de choeur)

Désignation

Dénomination de l'objet

Pupitre ; stalle ; fausse-stalle de célébrant ; lambris de demi-revêtement

Précision sur la typologie de l'objet - hors lexique

Décor de choeur

Titre courant

2 pupitres, 6 stalles, 17 fausses-stalles de célébrant et lambris de demi-revêtement (décor de choeur)

Localisation

Hauts-de-France ; Nord (59) ; Lille ; place Philippe-le-Bon ; Église paroissiale Saint-Michel

Numéro INSEE de la commune

59350

Aire d'étude pour le domaine Inventaire

Lille

Canton

Lille centre

Adresse de l'édifice

Philippe-le-Bon (place)

Nom de l'édifice

Église paroissiale Saint-Michel

Référence Mérimée de l'édifice

IA59002719

Milieu d'implantation pour le domaine Inventaire

En ville

Emplacement de l’œuvre dans l’édifice

Choeur.

Description

Catégorie technique

Menuiserie

Structure et typologie

Élévation (droite) ; miséricordes

Matériaux et techniques d'interventions

Chêne (en plusieurs éléments, structure) : taillé, mouluré petit cadre (décor en bas-relief), décor rapporté, décor dans la masse, décor en ronde bosse, décor en relief

Description matérielle

Le décor est composé de deux pupitres, de deux bancs à six stalles placés à l'entrée du choeur, en vis-à-vis, et de 17 fausses-stalles (quatre ont été supprimées pour installer le tabernacle), surmontés d'un lambris de revêtement à fronton. Entre les pupitres et les bancs, se trouve une porte en chêne permettant l'accès à la sacristie.

Dimensions normalisées

Dimensions non prises.

Historique

Auteur de l'œuvre ou créateur de l'objet

Buisine-Rigot (menuisier) ; Coisel Alfred (architecte, auteur du modèle)

Siècle de création

4e quart 19e siècle

Année de création

1875 ; 1890

Description historique

Le 14 février 1876, est signé le procès-verbal de réception définitive des travaux des stalles du choeur de l'église Saint-Michel (AD Nord série O-357-688), procès-verbal établi le 27 décembre 1875, pour un marché passé le 28 mai 1875. Elles sont réalisées d'après des dessins de l'architecte Alfred Coisel (AD Nord série O-357-689), pour la somme de 5 650 F. En 1890, elles sont complétées par Buisine-Rigot : dix nouvelles lui sont payées par les marguilliers (Archives diocésaines).