Monument funéraire ; plaque commémorative
De la famille Steinheil-Dieterlen ; de C. Boegner née Weber ; de C. F. Boegner ; de P. H. Boegner ; de R. Boegner ; de G. H. Chatelanat née Dieterlen ; de H. Dieterlen ; de M. Dieterlen ; de R. Dieterlen ; de A. Dieterlen ; de E. Dieterlen ; de H. Dieterlen née Fallot ; de H. Dieterlen ; de J. C. Dieterlen ; de J. Dieterlen ; de J. E. Dieterlen née Steinheil ; de L. Dieterlen ; de M. Diterlen ; de R. Dieterlen ; de ; de Ernest Fuchs ; de Cécile Fuchs née Steinheil
Ensemble des monuments funéraires et des plaques commémoratives de la famille Steinheil-Dieterlen
Grand Est ; Bas-Rhin (67) ; Rothau ; Grand Rue ; enclos funéraire de la famille Steinheil-Dieterlen
67414
Anciennement région de : Alsace
Schirmeck
Grand Rue
Enclos funéraire de la famille Steinheil-Dieterlen
IA67013090
En village
Sculpture ; taille de pierre
Grès (beige, rose) : taillé, décor dans la masse ; marbre (blanc) : taillé
Monuments funéraires (36), plaques commémoratives (6).
Dimensions non prises
4e quart 19e siècle ; 20e siècle
Si des membres de la famille Steinheil-Dieterlen semblent être inhumés depuis 1826 au cimetière de Rothau, l'existence d'un enclos funéraire privatif ne doit dater que de la fin du 19e siècle. Ainsi en 1892, un terrain de deux mètres carrés fut concédé à perpétuité à la firme Steinheil-Dieterlen et Cie. En 1904, la commune de Rothau céda gracieusement et à perpétuité une parcelle de 48 mètres carrés à cette même firme en échange de la donation d'une autre parcelle afin d'agrandir le cimetière. Cet enclos funéraire privé et les monuments funéraires, les plaques commémoratives qu'il contient, illustre particulièrement bien la forte endogamie des industriels alsaciens. Ainsi Gustave Steinheil (1818-1906) et son beau-frère Jacques Christophe Dieterlen (1818-1875) firent de l'ancienne usine textile Pramberger le plus grand employeur de la vallée. Les unions matrimoniales que contractèrent leurs enfants (ils en eurent respectivement huit et douze) permirent à la fois une forte synergie industrielle, tout en cultivant une politique sociale puisant dans leur foi religieuse, d'autant que certains d'entre eux choisirent la carrière pastorale. Ils sont alliés aux Legrand, Fallot, Oschwald, Boegner etc. Il s'agit des monuments funéraires ou commémoratifs d'Ernest Fuchs (1839-1913) et de Cécile Fuchs (1848-1937), d'Emmanuel Francis Fallot (XII-1871), d'Elisabeth Dieterlen (née en 1861), de Louis Dieterlen (1870-1929), de Daniel Engelbach (1899-1979), de Madeleine Fuchs (1870-1883), de Paul Henri Boegner (1871-1873), de Jacques Christophe Dieterlen (1818-1875) et de son épouse Julie Emilie Steinlen (1822-1898), de Jules Dieterlen (1848-1901), de Rodolphe Dieterlen (1849-1891), de Henry Dieterlen (1858-1886), de Pierre Etienne Fuchs (1877-1937) et de son épouse Marie Thormann (1887-1973), de Stéphanie Fuchs (188?-197?), de Marc Oschwald (1887-1903), d'Alfred Dieterlen (1846-1902) et de son épouse Hélène Fallot (1847-1916), de Maurice Dieterlen (1859-1886), d'Aimée Steinheil (1834-1868), de Roger Christophe Dieterlen (1876-1877), de Rodolphe Boegner (1855-1856), d'Amélie Steinheil (1825-1826), de Jacqueline Dieterlen (1879-1904), de Gertrude Hélène Chatelanat née Dieterlen (1871-1957), de Maggie Steinheil née Berger-Levrault (1867-1930), de Robert Steinheil (1863-1944), d'Aimée Steinheil (1897-1986), d'Anne Catherine Steinheil (1901-1994), d'Alfred Fuchs (1868-1965) et de son épouse Mathilde Niaudet (1875-1966), d'Hermann Dieterlen (1850-1935), de Gustave Steinheil (1818-1906), d'Emma Steinheil née Eyth (1824-1885), de Marie Salomé Steinheil née Heintzenberger (1781-1868), d'Alice Oschwald née Steinheil (1861-1911), d'Hélène Fallot née Steinheil (1850-1878), de Sophie Fuchs (1822-1873) et de Babette Knecht (1834-1924), de Louis Oppermann (1806-1876), de Caroline Boegner née Weber (1835-1895) et de Charles Frédéric Boegner (1829-1896), de Noémie Steinheil (née en 1849), de Madeleine Fuchs (1824-1871), de Jules Engelbach (1812-1866) et de son épouse Louise Steinheil (1824-1909) et de Robert Gruner (1884), de Mathilde Dieterlen (1853-1881), de Jacques Oschwald (1891-1908) et du capitaine de Tirailleurs Richard Dieterlen (1873-1919).
Propriété privée
Dossier individuel
2001
2004
Région Alsace - Service de l'Inventaire du Patrimoine culturel Palais du Rhin - 2 Place de la République 67000 Strasbourg - 03.88.15.38.31