peinture monumentale : le Christ glorieux (ensemble des peintures monumentales de la crypte)

Désignation

Dénomination de l'objet

Peinture monumentale

Titre courant

Peinture monumentale : le Christ glorieux (ensemble des peintures monumentales de la crypte)

Localisation

Nouvelle-Aquitaine ; Haute-Vienne (87) ; Limoges ; cathédrale Saint-Etienne

N° INSEE de la commune au moment de la protection

87085

Précision sur la localisation

Anciennement région de : Limousin

Canton

Limoges

Nom de l'édifice

Cathédrale Saint-Etienne

Référence Mérimée de l'édifice

PA00100333

Milieu d'implantation pour le domaine Inventaire

En ville

Emplacement de l’œuvre dans l’édifice

Crypte, voûte

Description

Catégorie technique

Peinture murale

Matériaux et techniques d'interventions

Enduit (support) : peint, polychrome

Description matérielle

Les peintures subsistantes sont situées au centre des voûtes d'arêtes.

Indexation iconographique normalisée

Christ glorieux : le Tétramorphe, sainte Madeleine (?)

Description de l'iconographie

Le grand Christ en majesté est assis sur un trône. Il tient dans la main gauche le livre de la Parole et bénit de la main droite. Il est entouré du Tétramorphe mais seuls l'aigle de saint Jean et le taureau de saint Luc sont visibles. Un petit personnage en costume de franciscain apparaît au pied droit du Christ : il s'agirait de sainte Madeleine, qui, agenouillée, lui baise le pied et le nettoie de sa longue chevelure blonde.

Dimensions normalisées

Dimensions non prises.

État de conservation (normalisé)

Élément ; repeint ; oeuvre restaurée ; oeuvre menacée

Précisions sur l'état de conservation

Il ne subsiste qu'une partie seulement du décor de peinture original. Oeuvre restaurée dans les années 1920 présentant de nombreuses couches de repeints. Malgré une restauration à la fin des années 1980 par M. Takahashi, les peintures continuent d'être dangereusement rongées par une lèpre blanche.

Historique

Siècle de création

Limite 12e siècle 13e siècle

Description historique

Cette peinture murale de la seconde campagne de décoration de la crypte, à la fin du 12e ou au début du 13e siècle, était connue dès le début du 19e siècle.