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Plateforme ouverte du patrimoine

Usine de porcelaine Alluaud, puis Charles Field Haviland, puis G.D.M., puis G.D.A., puis S.L.G.P., puis Royal-Limoges

Désignation

Dénomination de l'édifice

Usine de porcelaine

Appellation d'usage

Usine de porcelaine Alluaud, puis Charles Field Haviland, puis G.D.M., puis G.D.A., puis S.L.G.P., puis Royal-Limoges

Titre courant

Usine de porcelaine Alluaud, puis Charles Field Haviland, puis G.D.M., puis G.D.A., puis S.L.G.P., puis Royal-Limoges

Localisation

Localisation

Nouvelle-Aquitaine ; Haute-Vienne (87) ; Limoges ; 28 rue Donzelot

Aire d'étude pour le domaine Inventaire

Limoges

Canton

Limoges-Le Palais

Lieu-dit

Les Casseaux

Adresse de l'édifice

Donzelot (rue) 28

Références cadastrales

2002 EM 327, 328

Milieu d'implantation pour le domaine Inventaire

En ville

Partie constituante non étudiée

Atelier de fabrication ; bureau d'entreprise ; logement patronal ; conciergerie ; entrepôt industriel

Historique

Siècle de la campagne principale de construction

1er quart 19e siècle ; 2e moitié 19e siècle ; 1ère moitié 20e siècle ; 4e quart 20e siècle

Année(s) de(s) campagne(s) de construction

1816 ; 1878 ; 1981

Commentaires concernant la datation

Daté par source

Auteur de l'édifice

Description historique

En 1816, François Alluaud fils fonde cette usine de porcelaine qu'il exploite en association avec son frère Jean-Baptiste Clément sous la raison sociale Alluaud Frères. Appelée couramment l'usine des Casseaux, elle fut implantée sur ce site en raison de la proximité du port du Naveix, où arrivait par flottage le bois nécessaire aux fours. Après le retrait de Jean-Baptiste en 1823, François Alluaud s'associe entre 1839 et 1845 à ses fils Victor et Amédée, puis à son gendre Vandermarcq. Des extensions sont réalisées vers 1851, 1865, 1866 et 1870. Après la mort d'Amédée en 1872, et celle de Victor 4 ans plus tard, l'usine est reprise en 1876 par le mari d'une petite fille de François Alluaud, Charles Field Haviland, cousin germain des porcelainiers limougeauds Charles et Théodore Haviland. Malgré la modernisation des équipements, dont l'installation d'une machine à vapeur en 1879, et l'extension des locaux en 1878, il est contraint, face à la concurrence, de céder en 1881 son usine à la société Gérard Dufraisseix et Morel (G.D.M.) , à laquelle sont associés les héritiers Alluaud. En 1890 Morel quitte l'entreprise, qui, avec l'arrivée d'Edgar Abbot en 1900 prend le nom de G.D.A.. De nouveaux ateliers sont construits de 1901 à 1905. En 1949 la société porcelainière Céramine, spécialisée dans la fabrication de porcelaine pour l'industrie, occupe une partie des bâtiments, jusque dans les années 1970. En 1960 l'usine de porcelaine Lanternier quitte ses locaux de la rue Cruveilher pour s'installer sur le site des Casseaux. G.D.A. et Lanternier forment alors la Société Limousine de Gestion Porcelainière (S.L.G.P.) prise en gérance par Jean-Claude Delaygue, père de l'actuel directeur, Lionel Delaygue. Avec d'autres entreprises porcelainières, S.L.G.P. crée en 1972 une filiale au Dorat (87) , Doralaine. En 1989, S.L.G.P. devient la société Royal-Limoges. L'usine est touchée par deux incendies importants en 1981 et 2001, qui ont modifié profondément les bâtiments et les équipements. Un vaste atelier a été construit aux côtés des bâtiments anciens suivants : bureau, conciergerie et logement patronal de 1816, atelier de décors de 1878, bâtiments des fours du dernier quart du 19e siècle et ateliers de fabrication de 1901-1905. Un magasin d'usine a été installé en 2003, auquel doit être ajouté un musée d'entreprise en 2004. L'usine est équipée dans un premier temps de 2 fours à globe, puis de 3 en 1841, de 5 en 1855, de 6 en 1864, pour atteindre le nombre maximum de 9 à la fin du 19e siècle. En 1859 une partie des fours au bois sont convertis à la houille. Leur capacité était estimée à 312 m3 en 1885, 415 m3 en 1870, 600 m3 en 1914, 770 m3 en 1925, 200 m3 en 1950. La mécanisation de la fabrication des assiettes au début des années 1870 entraîne l'installation d'une machine à vapeur. L'usine emploie 181 ouvriers en 1841 dont 21 femmes et 22 enfants, 368 ouvriers en 1852 dont 62 femmes, 225 à 300 entre 1865 et 1870, 400 en 1873, 70 ouvriers décorateurs en 1895, 170 en 1914, 487 ouvriers dont 242 femmes en 1926, 100 salariés en 1980, 85 en 2003.

Description

Matériaux du gros-œuvre

Pierre ; calcaire ; granite ; pierre de taille ; moellon ; enduit ; pan de bois ; béton ; béton armé ; parpaing de béton ; pan de métal ; brique ; essentage

Matériaux de la couverture

Tuile mécanique ; tuile creuse ; ardoise ; matériau synthétique en couverture

Description de l'élévation intérieure

Sous-sol ; étage de soubassement ; 2 étages carrés ; étage de comble

Partie d'élévation extérieure

Élévation ordonnancée

Typologie de couverture

Toit à longs pans ; shed ; croupe

Source de l'énergie utilisée par l'édifice

Énergie thermique ; produite sur place

Commentaire descriptif de l'édifice

Les ateliers, les bureaux, le logement patronal, la conciergerie et les anciens bâtiments de four, antérieurs aux années 1890, sont construits en moellon de pierre et granite. Certains sont enduits. Les ateliers, les bureaux et les bâtiments de fours ont un étage carré. Le logement patronal dispose d'un étage de comble supplémentaire. La conciergerie est en rez-de-chaussée. Tous ces bâtiments sont couverts de toits à longs pans, en tuile mécanique, sauf le logement patronal, en tuile creuse. Ce dernier et la conciergerie ont chacun une croupe. Les encadrements de baies sont en pierre de taille (calcaire) ou en brique. L'ancien atelier de décoration de 1878 est en moellon de pierre enduit couvert d'un toit à longs pans en tuile mécanique. La façade nord-est est percée de nombreuses et étroites baies rectangulaires. Les charpentes des anciens bâtiments de fours sont constituées de fermes métalliques en profilés rivetés avec entraits et poinçons en fers ronds. Ces fermes reposent sur des corbeaux en pierre. Les lanterneaux des bâtiments de fours ont été supprimés. Les ateliers couverts de sheds, probablement datés de la dernière décennie du 19e siècle, dotés d'un étage de soubassement et d'un rez-de-chaussée, sont en moellon de granite. La charpente des sheds est en bois, couverte de tuiles mécaniques. L'actuel atelier de moulage de grosses pièces, daté de l'extrême fin du 19e siècle, est composé d'une structure à pan de fer en profilés rivetés, avec remplissage de briques à l'étage, et en parpaings au rez-de-chaussée. Ce bâtiment est doté partiellement d'un sous-sol où se fait la fabrication de la pâte. Il est couvert d'un toits à longs pans en ardoise. Les actuels bâtiments de moulage, coulage et modelage, construits entre 1900 et 1905, sont constitués d'un rez-de-chaussée en moellon de pierre, avec encadrement en pierre de taille et linteaux métalliques. L'étage carré est construit suivant deux techniques : à pan de fer et remplissage de briques, ou poteaux et remplissage en brique silico-calcaire. Les planchers sont portés par une rangée intermédiaire de poteaux en bois à aisseliers. Les charpentes en bois, à l'exception d'une partie en béton armé (peut-être après reconstruction) , sont couvertes d'un toit à longs pans en tuile mécanique. Les anciens ateliers construits perpendiculairement aux bureaux et l'ancienne imprimerie aujourd'hui désaffectée, construits vers 1905, sont à pans de bois et remplissage brique, avec soubassement en moellon de pierre. Ils sont couverts de toits à longs pans en tuile mécanique. L'imprimerie est en rez-de-chaussée. Les ateliers ont deux étages carrés. Leur façade nord-est est constituée de bandeaux de baies simplement délimitées verticalement par la structure porteuse en bois, horizontalement par les allèges de brique. Les ateliers construits après l'incendie de 1981 ont une structure et une charpente mécano-soudées, des murs en parpaings de béton et essentage en tôle. Ils sont couverts d'un toit à longs pans en matériau synthétique.

État de conservation (normalisé)

Remanié

Protection et label

Référence aux objets conservés

IM87001744 ; IM87001731 ; IM87001738 ; IM87001729 ; IM87001735 ; IM87001741 ; IM87001737 ; IM87001726 ; IM87001730 ; IM87001733 ; IM87001747 ; IM87001728 ; IM87001740 ; IM87001725 ; IM87001736 ; IM87001739 ; IM87001742 ; IM87001746 ; IM87001734 ; IM87001727 ; IM87001745 ; IM87001732 ; IM87001743

Intérêt de l'édifice

À signaler

Eléments remarquables dans l'édifice

Atelier de fabrication ; machine de production (étudiée dans la base Palissy)

Observations concernant la protection de l'édifice

En dehors de son four à globe, classé monument historique (IA87000296) , l'usine des Casseaux est remarquable d'une part par ses bâtiments de 1816 subsistants et qui en font la plus ancienne usine de porcelaine de Limoges, d'autre part par une partie de ses équipements mécaniques (étudiés dans la base Palissy).

Statut juridique

Statut juridique du propriétaire

Propriété privée

Références documentaires

Date de l'enquête ou du dernier récolement

2003

Date de rédaction de la notice

2003

Noms des rédacteurs de la notice et du dossier

Pillet Frédéric

Typologie du dossier

Dossier avec sous-dossier

Adresse du dossier Inventaire

Région Nouvelle-Aquitaine, Maison de la Région - Service du Patrimoine et de l’Inventaire, site de Limoges - 27, boulevard de la Corderie - CS 3116 - 87031 Limoges Cedex 1 - 05 55 45 19 00

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Vue aérienne de l'usine des Casseaux vers 1955, prise du nord.
Vue aérienne de l'usine des Casseaux vers 1955, prise du nord.
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
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Tonneaux pour l'expédition de la porcelaine en attente de chargement. Au fond, on distingue l'entrée des bureaux. Non daté.
Tonneaux pour l'expédition de la porcelaine en attente de chargement. Au fond, on distingue l'entrée des bureaux. Non daté.
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
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Vue prise du sud-est de l'usine, entre 1885 et 1905, depuis l'emplacement des actuels ateliers de coulage et façonnage : seul subsiste actuellement le bâtiment de l'arrière-plan, contenant deux fours, et reconverti en entrepôt de stockage de moules.
Vue prise du sud-est de l'usine, entre 1885 et 1905, depuis l'emplacement des actuels ateliers de coulage et façonnage : seul subsiste actuellement le bâtiment de l'arrière-plan, contenant deux fours, et reconverti en entrepôt de stockage de moules.
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Ateliers de l'usine photographiés, vers 1900 : il subsiste les ateliers de droite (actuel atelier de moulage des grosses pièces à l'étage, puis anciens ateliers Céramine) et la passerelle du premier plan.
Ateliers de l'usine photographiés, vers 1900 : il subsiste les ateliers de droite (actuel atelier de moulage des grosses pièces à l'étage, puis anciens ateliers Céramine) et la passerelle du premier plan.
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L'usine vue du nord vers 1950 : au fond domine la grande cheminée du four rond conservé.
L'usine vue du nord vers 1950 : au fond domine la grande cheminée du four rond conservé.
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
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Vue des toits de l'usine des Casseaux, prise au-dessus de la rue Donzelot. Vers 1900.
Vue des toits de l'usine des Casseaux, prise au-dessus de la rue Donzelot. Vers 1900.
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Façade antérieure des bureaux de l'usine.
Façade antérieure des bureaux de l'usine.
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Conciergerie.
Conciergerie.
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Ancienne imprimerie.
Ancienne imprimerie.
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Ateliers désaffectés, implantés perpendiculairement aux bureaux.
Ateliers désaffectés, implantés perpendiculairement aux bureaux.
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Ateliers construits après l'incendie de 1981.
Ateliers construits après l'incendie de 1981.
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L'ancien logement patronal.
L'ancien logement patronal.
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L'ancien atelier de fabrication de l'entreprise Céramine, aujourd'hui désaffecté. Vue prise depuis la cour de l'usine.
L'ancien atelier de fabrication de l'entreprise Céramine, aujourd'hui désaffecté. Vue prise depuis la cour de l'usine.
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L'ancien logement patronal.
L'ancien logement patronal.
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Hangar industriel. En arrière-plan on distingue le pignon de l'ancien bâtiment de four du dernier quart du 19e siècle, reconverti en entrepôt de gros moules.
Hangar industriel. En arrière-plan on distingue le pignon de l'ancien bâtiment de four du dernier quart du 19e siècle, reconverti en entrepôt de gros moules.
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Une partie de la cour de l'usine : à gauche l'atelier de stockage et coulage des grosses pièces (à l'étage), l'atelier d'entretien (rez-de-chaussée), la marche à pâte (en sous-sol) ; au fond l'atelier de façonnage (machines Faure et Roller) ; à droite un hangar.
Une partie de la cour de l'usine : à gauche l'atelier de stockage et coulage des grosses pièces (à l'étage), l'atelier d'entretien (rez-de-chaussée), la marche à pâte (en sous-sol) ; au fond l'atelier de façonnage (machines Faure et Roller) ; à droite un hangar.
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L'atelier de stockage et coulage des grosses pièces (à l'étage), la marche à pâte (au fond, en sous-sol), l'atelier d'entretien (au rez-de-chaussée).
L'atelier de stockage et coulage des grosses pièces (à l'étage), la marche à pâte (au fond, en sous-sol), l'atelier d'entretien (au rez-de-chaussée).
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Atelier de fabrication occupé à partir de 1949 par la société Céramine, aujourd'hui désaffecté. Façade sur cour.
Atelier de fabrication occupé à partir de 1949 par la société Céramine, aujourd'hui désaffecté. Façade sur cour.
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Ancien atelier de décoration (construit vers 1878 ?), occupé à partir de 1949 par la société Céramine, aujourd'hui désaffecté. Façade sur cour.
Ancien atelier de décoration (construit vers 1878 ?), occupé à partir de 1949 par la société Céramine, aujourd'hui désaffecté. Façade sur cour.
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Atelier de fabrication occupé à partir de 1949 par la société Céramine, aujourd'hui désaffecté : atelier des fours.
Atelier de fabrication occupé à partir de 1949 par la société Céramine, aujourd'hui désaffecté : atelier des fours.
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
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Atelier de fabrication occupé à partir de 1949 par la société Céramine, aujourd'hui désaffecté. Vue intérieure.
Atelier de fabrication occupé à partir de 1949 par la société Céramine, aujourd'hui désaffecté. Vue intérieure.
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Ancien atelier de décoration (construit vers 1878 ?), occupé à partir de 1949 par la société Céramine, aujourd'hui désaffecté. Vue intérieure.
Ancien atelier de décoration (construit vers 1878 ?), occupé à partir de 1949 par la société Céramine, aujourd'hui désaffecté. Vue intérieure.
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Stockage de moules pour l'atelier voisin de coulage des grosses pièces.
Stockage de moules pour l'atelier voisin de coulage des grosses pièces.
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Ancien séchoir à côté l'atelier de coulage des grosses pièces.
Ancien séchoir à côté l'atelier de coulage des grosses pièces.
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
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Vue intérieure d'un ancien séchoir situé à côté l'atelier de coulage des grosses pièces.
Vue intérieure d'un ancien séchoir situé à côté l'atelier de coulage des grosses pièces.
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
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Atelier de coulage des grosses pièces. Vue générale.
Atelier de coulage des grosses pièces. Vue générale.
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Atelier de coulage des grosses pièces. Opération de démoulage sur la table de coulage.
Atelier de coulage des grosses pièces. Opération de démoulage sur la table de coulage.
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Atelier de coulage : machine automatique (Elmeceray).
Atelier de coulage : machine automatique (Elmeceray).
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Atelier de coulage : machine automatique (Elmeceray). Détail.
Atelier de coulage : machine automatique (Elmeceray). Détail.
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Atelier de coulage : séchoir.
Atelier de coulage : séchoir.
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Atelier de coulage : finition des pièces coulée avant cuisson de dégourdi.
Atelier de coulage : finition des pièces coulée avant cuisson de dégourdi.
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Atelier de façonnage : atelier des machines Faure à assiettes et des machines Roller.
Atelier de façonnage : atelier des machines Faure à assiettes et des machines Roller.
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Ancien bâtiment de four construit durant le dernier quart du 19e siècle, reconverti en entrepôt de gros moules. Vue de l'étage.
Ancien bâtiment de four construit durant le dernier quart du 19e siècle, reconverti en entrepôt de gros moules. Vue de l'étage.
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Ancien bâtiment de four construit durant le dernier quart du 19e siècle, reconverti en entrepôt de gros moules. Vue de détail d'un corbeau de pierre portant une ferme métallique.
Ancien bâtiment de four construit durant le dernier quart du 19e siècle, reconverti en entrepôt de gros moules. Vue de détail d'un corbeau de pierre portant une ferme métallique.
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Ancien bâtiment de four construit durant le dernier quart du 19e siècle, reconverti en entrepôt de gros moules. Vue de détail de la charpente.
Ancien bâtiment de four construit durant le dernier quart du 19e siècle, reconverti en entrepôt de gros moules. Vue de détail de la charpente.
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Atelier de façonnage : détail de la liaison entre le pan de fer et les poutres du plancher en bois.
Atelier de façonnage : détail de la liaison entre le pan de fer et les poutres du plancher en bois.
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
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Atelier de fabrication des moules.
Atelier de fabrication des moules.
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Vue intérieure du séchoir de l'atelier de fabrication des moules.
Vue intérieure du séchoir de l'atelier de fabrication des moules.
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Séchoir de l'atelier de fabrication des moules.
Séchoir de l'atelier de fabrication des moules.
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Stockage des moules pour le coulage dans les greniers des ateliers de fabrication.
Stockage des moules pour le coulage dans les greniers des ateliers de fabrication.
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Stockage des moules pour le coulage dans les greniers des ateliers de fabrication (charpente en béton).
Stockage des moules pour le coulage dans les greniers des ateliers de fabrication (charpente en béton).
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Stockage des moules pour le coulage dans les greniers des ateliers de fabrication.
Stockage des moules pour le coulage dans les greniers des ateliers de fabrication.
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Atelier de moulage à la housse des tasses : machine automatique.
Atelier de moulage à la housse des tasses : machine automatique.
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Atelier de moulage à la housse des tasses : stockage des moules de la machine automatique.
Atelier de moulage à la housse des tasses : stockage des moules de la machine automatique.
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Opération d'émaillage : enlèvement de la goutte d'émail qui subsiste après l'égouttage de la pièce.
Opération d'émaillage : enlèvement de la goutte d'émail qui subsiste après l'égouttage de la pièce.
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Opération d'émaillage : égouttage de la pièce après immersion dans un bain d'émail liquide.
Opération d'émaillage : égouttage de la pièce après immersion dans un bain d'émail liquide.
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Opération d'émaillage : finition de l'émail avant la phase de séchage.
Opération d'émaillage : finition de l'émail avant la phase de séchage.
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Opération d'émaillage : la pièce à émailler après une brève immersion dans un bain d'émail liquide.
Opération d'émaillage : la pièce à émailler après une brève immersion dans un bain d'émail liquide.
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Entrepôt de stockage de la porcelaine blanche.
Entrepôt de stockage de la porcelaine blanche.
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Atelier de décoration de la porcelaine.
Atelier de décoration de la porcelaine.
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Poste de travail des fileurs.
Poste de travail des fileurs.
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Pose d'un filet au pinceau, sur l'anse d'une cafetière.
Pose d'un filet au pinceau, sur l'anse d'une cafetière.
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Poste de travail d'un fileur : centrage d'une tasse à café.
Poste de travail d'un fileur : centrage d'une tasse à café.
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Poste de travail d'un fileur : pose du filet au pinceau sur une tasse à café, maintenue par une petite masse de plomb.
Poste de travail d'un fileur : pose du filet au pinceau sur une tasse à café, maintenue par une petite masse de plomb.
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Poste de travail d'un fileur : vérification de la tasse décorée.
Poste de travail d'un fileur : vérification de la tasse décorée.
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Pose d'un filet à l'aide d'une tournette.
Pose d'un filet à l'aide d'une tournette.
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Vérification après la pose d'un filet à l'aide d'une tournette sur un plat. Ce dernier est manipulé par l'intermédiaire d'une ventouse.
Vérification après la pose d'un filet à l'aide d'une tournette sur un plat. Ce dernier est manipulé par l'intermédiaire d'une ventouse.
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Pose de décalcomanies sur une soucoupe.
Pose de décalcomanies sur une soucoupe.
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Stockage de pierres lithographiques dans l'atelier d'imprimerie.
Stockage de pierres lithographiques dans l'atelier d'imprimerie.
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Stockage de pigments de couleur utilisés par l'atelier d'imprimerie.
Stockage de pigments de couleur utilisés par l'atelier d'imprimerie.
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Une partie de la marche à pâte, atelier de préparation de la barbotine et de l'émail.
Une partie de la marche à pâte, atelier de préparation de la barbotine et de l'émail.
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
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Atelier de façonnage et atelier de fabrication des moules vus depuis l'est. A gauche, au rez-de-chaussée, l'actuel magasin d'usine.
Atelier de façonnage et atelier de fabrication des moules vus depuis l'est. A gauche, au rez-de-chaussée, l'actuel magasin d'usine.
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Au rez-de-chaussée, l'actuel magasin d'usine. A l'étage, entrepôt des matrices (noyaux, modèles...) pour la fabrication des moules.
Au rez-de-chaussée, l'actuel magasin d'usine. A l'étage, entrepôt des matrices (noyaux, modèles...) pour la fabrication des moules.
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Magasin d'usine, ateliers de fabrication des moules et de façonnage, vus du sud-ouest.
Magasin d'usine, ateliers de fabrication des moules et de façonnage, vus du sud-ouest.
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Salle d'exposition des modèles, au-dessus des bureaux.
Salle d'exposition des modèles, au-dessus des bureaux.
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Bureau du directeur de l'usine.
Bureau du directeur de l'usine.
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Atelier de fabrication occupé à partir de 1949 par la société Céramine, aujourd'hui désaffecté. Façade sur rue.
Atelier de fabrication occupé à partir de 1949 par la société Céramine, aujourd'hui désaffecté. Façade sur rue.
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Ancien atelier de décoration (construit vers 1878 ?), occupé à partir de 1949 par la société Céramine, aujourd'hui désaffecté. Façade sur rue.
Ancien atelier de décoration (construit vers 1878 ?), occupé à partir de 1949 par la société Céramine, aujourd'hui désaffecté. Façade sur rue.
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L'atelier de stockage et coulage des grosses pièces (à l'étage), la marche à pâte (au fond, en sous-sol), l'atelier d'entretien (au rez-de-chaussée). Façade sur rue.
L'atelier de stockage et coulage des grosses pièces (à l'étage), la marche à pâte (au fond, en sous-sol), l'atelier d'entretien (au rez-de-chaussée). Façade sur rue.
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Façade en alignement de la rue Donzelot.
Façade en alignement de la rue Donzelot.
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
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Façade en alignement de la rue Donzelot. Vue de la cour intérieure.
Façade en alignement de la rue Donzelot. Vue de la cour intérieure.
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
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Façade en alignement de la rue Donzelot.
Façade en alignement de la rue Donzelot.
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
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Atelier d'imprimerie : claies de séchage des planches chromolithographiques.
Atelier d'imprimerie : claies de séchage des planches chromolithographiques.
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
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Passerelle de communication entre les premiers étages de l'ancien bâtiment du four reconverti en entrepôt de stockage des gros moules, et l'atelier de coulage manuel.
Passerelle de communication entre les premiers étages de l'ancien bâtiment du four reconverti en entrepôt de stockage des gros moules, et l'atelier de coulage manuel.
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
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L'usine vue du nord-est vers 1885. Au centre l'atelier (1er étage) occupé après la Seconde Guerre mondiale par la société Céramine, et aujourd'hui désaffecté. On distingue, derrière le hangar situé à droite de l'atelier précédent, le pignon et la toiture (percée de trois lucarnes) du logement patronal. A gauche, le bâtiment situé dans l'axe de la cathédrale Saint-Etienne correspondant à l'actuel entrepôt des gros moules, contenant initialement deux fours (construits vers 1885), et dont l'un est probablement en construction : une seule cheminée émerge, le lanterneau du deuxième four est en cours de construction. A gauche et à droite, divers hangars et ateliers aujourd'hui disparus.
L'usine vue du nord-est vers 1885. Au centre l'atelier (1er étage) occupé après la Seconde Guerre mondiale par la société Céramine, et aujourd'hui désaffecté. On distingue, derrière le hangar situé à droite de l'atelier précédent, le pignon et la toiture (percée de trois lucarnes) du logement patronal. A gauche, le bâtiment situé dans l'axe de la cathédrale Saint-Etienne correspondant à l'actuel entrepôt des gros moules, contenant initialement deux fours (construits vers 1885), et dont l'un est probablement en construction : une seule cheminée émerge, le lanterneau du deuxième four est en cours de construction. A gauche et à droite, divers hangars et ateliers aujourd'hui disparus.
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L'usine vue du nord-est vers 1885. Au centre l'atelier (1er étage) occupé après la Seconde Guerre mondiale par la société Céramine, et aujourd'hui désaffecté. On distingue, derrière le hangar situé à droite de l'atelier précédent, le pignon et la toiture (percée de trois lucarnes) du logement patronal. A gauche, le bâtiment situé dans l'axe de la cathédrale Saint-Etienne correspondant à l'actuel entrepôt des gros moules, contenant initialement deux fours (construits vers 1885), et dont l'un est probablement en construction : une seule cheminée émerge, le lanterneau du deuxième four est en cours de construction. Les bâtiments subsistants en 2003 sont détourés.
L'usine vue du nord-est vers 1885. Au centre l'atelier (1er étage) occupé après la Seconde Guerre mondiale par la société Céramine, et aujourd'hui désaffecté. On distingue, derrière le hangar situé à droite de l'atelier précédent, le pignon et la toiture (percée de trois lucarnes) du logement patronal. A gauche, le bâtiment situé dans l'axe de la cathédrale Saint-Etienne correspondant à l'actuel entrepôt des gros moules, contenant initialement deux fours (construits vers 1885), et dont l'un est probablement en construction : une seule cheminée émerge, le lanterneau du deuxième four est en cours de construction. Les bâtiments subsistants en 2003 sont détourés.
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
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L'usine vue de l'ouest vers 1880-1885. De ces ateliers, seul subsiste aujourd'hui le bâtiment du four, au fond, reconverti en entrepôt de stockage de gros moules (mis en évidence par détourage).
L'usine vue de l'ouest vers 1880-1885. De ces ateliers, seul subsiste aujourd'hui le bâtiment du four, au fond, reconverti en entrepôt de stockage de gros moules (mis en évidence par détourage).
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
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Vue aérienne de l'usine des Casseaux vers 1955, prise du nord. Détourage des bâtiments subsistants en 2003.
Vue aérienne de l'usine des Casseaux vers 1955, prise du nord. Détourage des bâtiments subsistants en 2003.
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
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Vue aérienne de l'usine des Casseaux vers 1955, prise de l'est.
Vue aérienne de l'usine des Casseaux vers 1955, prise de l'est.
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
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Vue aérienne de l'usine des Casseaux vers 1955, prise de l'est. Détourage des bâtiments subsistants en 2003.
Vue aérienne de l'usine des Casseaux vers 1955, prise de l'est. Détourage des bâtiments subsistants en 2003.
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
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Vue aérienne de l'usine des Casseaux vers 1955, prise du sud-est.
Vue aérienne de l'usine des Casseaux vers 1955, prise du sud-est.
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
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Vue aérienne de l'usine des Casseaux vers 1955, prise du sud-est. Détourage des bâtiments subsistants en 2003.
Vue aérienne de l'usine des Casseaux vers 1955, prise du sud-est. Détourage des bâtiments subsistants en 2003.
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
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L'usine vue du nord vers 1950 : au fond domine la grande cheminée du four rond conservé (bâtiments détourés : subsistants en 2003).
L'usine vue du nord vers 1950 : au fond domine la grande cheminée du four rond conservé (bâtiments détourés : subsistants en 2003).
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
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Plan de l'usine Alluaud vers 1838.
Plan de l'usine Alluaud vers 1838.
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
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Plan masse de l'usine Alluaud en 1851.
Plan masse de l'usine Alluaud en 1851.
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
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Plan masse de l'usine GDA en 1947.
Plan masse de l'usine GDA en 1947.
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
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Stockage de bois pour les fours dans la cour de l'usine, partie ouest. En arrière-plan, les fours à porcelaine antérieur à 1885.
Stockage de bois pour les fours dans la cour de l'usine, partie ouest. En arrière-plan, les fours à porcelaine antérieur à 1885.
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
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La construction des bâtiments des actuels ateliers de moulage, coulage, modelage (bâtiment au sud du site). A gauche un bâtiment de four du dernier quart du 19e siècle (actuel entrepôt de gros moules), relié par la passerelle (subsistante) à l'actuel atelier de moulage à la main de grosse pièce. Derrière la passerelle, un atelier détruit lors de l'incendie de 1981. Vers 1900-1905.
La construction des bâtiments des actuels ateliers de moulage, coulage, modelage (bâtiment au sud du site). A gauche un bâtiment de four du dernier quart du 19e siècle (actuel entrepôt de gros moules), relié par la passerelle (subsistante) à l'actuel atelier de moulage à la main de grosse pièce. Derrière la passerelle, un atelier détruit lors de l'incendie de 1981. Vers 1900-1905.
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